toiiii non pas toiiii (pv matt) [terminer]

Emilie toujours aussi froide avait décidé que vue qu'aujourdh'hui il faisai beau elle pourrait aller se posser en ville pour faire des croquis pour une nouvelle planche qu'elle travaillait au boulot. Elle mit ses lunettes de soleil pris son sac et partit. En arrivant en ville elle s'aperçut qu'elle était bondée "chouette" elle pourrait faire tout plein de jolies croquis, maintenant il fallait qu'elle trouve une bonne place. Elle traversa la rue et vit un bar possedant une terrase. "Super" elle irait la bas.

Elle se possa sur une chaise mit son sac sur la chaise à coté et sortit son calpin à croquis. Le serveur arriva et lui demanda:

-Bonjours mademoiselle, que prendrez-vous?

-Un Indien svp

-Je reviens avec cela...

Il revint à peine 5 minutes plus tard avec sa commande. Emilie s'installa confortablement et après avoir but une corgé commença à faire des repérages pour déssinés. Mais voila elle repéra un truc dans la ville qui lui fit perdre tout ses moyens et qui lui donna encore plus envie de déssiner mais elle ne devait pas. Elle repéra un lieu qu'elle avait oublié ces derniers années car sa réveillait beaucoup trop de douleur chez elle, mais temps pis autant se lancer, mais attention une fois encore sa ne donnera qu'un dessin dur et douloureux. Ben pourquoi pas après tout vue qu'au final c'est pour sa qu'elle ait connue aujourd'hui.

Elle sortit alors son crayon et se mit au travail, elle fit des enchainements de trait encore et encore sans savoir vraiment ce qu'elle faisait. Quand elle eut finit elle regarda enfin son dessin et eut un petit cris de surprise qui ne sortit pas de sa gorge, elle avait déssiné quelque chose qu'elle n'aurait jamais dut déssiner et beaucoup trop douloureux. En effet, elle venait de faire un chanteur au cheveux plus qu'explosif, tenant un micro de la main droite et de l'autre il avait la mains pointé vers une jeune femme au cheveux rose, Emilie sentit les larmes lui monter aux yeux décidement elle ne l'oublierait jamais. Mais le pire n'était pas la en effet, le pire était au pied de la jeune fille, il y avait trois petits bouts, une fille et deux garçons, la fille était brune comme le jolie jeune homme, et les deux garçons avaient les cheveux roses (chose improbable mais bon c'est un dessin). Emilie voulut déchiré la feuille mais ne le fit pas car c'était un magnifique dessin , après tout c'était peut être vrai qu'ils allaient bien ensemble tout les deux.

Emilie mit sa feuille sur la table et décida de déssiner son passer dans une sorte de BD immaginative, en effet elle ne représenterait que certains moments avec une force sur le dessin qui donnerait encore plus de puissance et, malheureusement, la premiere image qui lui vint, fut sa rencontre avec Matt un homme qu'elle n'aurait jamais immaginé perdre et pourtant c'était arrivé. Après tout c'était l'un des meilleurs moment de sa vie autant le mettre sur papier, pour ne jamais l'oublier même si c'était graver en elle.

Pendant qu'elle représentait cela, son premier dessin s'envola sans qu'elle le voit. Et le pire c'est qu'il attérit sur la table de quelqu'un d'autre derrière qui allait une fois de plus bouleverser Emilie sans vraiment le savoir. Bref elle avait presque finit son magnifique dessin ou on voyait une jolie blonde assise sous un arbres aux fleurs rose/violet avec une veste noir sur les épaules qui ne lui appartenait pas et un homme brun à côté d'elle qui la prenait dans ses bras. Il y avait du vent et les pétales des fleurs de l'arbre leur tombait dessus. Quand elle leva enfin le dessin pour le regarder elle aperçut une ombre sur la feuille signe que quelqu'un regardait par dessus son épaule, elle se retourna et .....

Matt sorti de son appartement et ressenti la légère brise lui caressant les cheveux. Il le va la tête vers le ciel. Un ciel bleue avec un soleil tapant qui lui fit cligner les yeux, l’obligeant ainsi à baisser son regard. C’était une belle journée. Il avait pris sa journée. Quoi de plus naturel que se la coulait douce de temps en temps quand on géré sa propre boîte. Et oui, Matt avait ouvert son propre label depuis peu. Il avait démarché pas mal de client et lancer deux trois artistes dans le milieu. Il devait encore se faire connaître, enfin, faire connaître son label. Car dans le milieu de la musique, il y laissé sa trace. Le groupe qu’il avait formé au lycée avec son frère et Aurélien avait pris son envol et avait percé dans le milieu. Lily avait rejoint le groupe en tant que chanteuse, lui retrouvant la basse. Les Black Sensation dans le devant de la scène, perçant au grand jour. Il avait toujours adoré la musique et il ne se voyait pas ailleurs que dans un endroit où il avait un micro, ou une basse, ou une studio d’enregistrement. La musique, il en avait fait son métier, en quelque sorte.

Alors quoi de plus profiteur que d’aller faire un tour et fréquenter les petits bars du coin pour aller démarcher artistes qui ne savent pas encore qui ils sont. Sa technique préféré pour aborder ses futurs clients, s’installer l’air de rien à un bar où joue un petit groupe, écouter sans en avoir l’air, trouver le potentiel et alors après, seulement après, aborder le client. Il en avait déniché un déjà dans le bar d’Aurélien, et oui Mister Kampf est gérant d’un bar maintenant. Il les avait fait jouer un soir dans son bar et Matt était venu là par hasard, juste pour faire un coucou à son vieux pote.

Il se posa à un bar, ayant pris soin avant de vérifier qu’un groupe jouait bien dans une heure. En attendant, il préféra s’installer en terrasse et profiter du merveilleux soleil qui s’offrait à lui. Il commanda un soda, pas d’alcool pendant les heures de travail ^^. Son téléphone sonna : c’était le premier groupe qui avait intégré son label. Leur chanteur avait une extinction de voix et il ne pourrrait pas enregistrer le morceau prévu au lendemain. Bref, il essaya de trouver une date qui collait avec son emploi du temps, mais aussi avec le leur. Chose qui ne fut pas aussi simple.

D’autant plus qu’il fût dérangé par une feuille de papier qui lui arriva droit dans la figure, emporté par le vent dont ne sais où. Il l’a dégagea de son visage et son regard fût attiré par la couleur rose des cheveux d’une fille, en fait d’une fille et de trois garçon. Intrigué, il ne suivit plus du tout le cours de la communication et regarda les autres personnages du dessin. Il eût un choc en voyant un homme aux cheveux corbeau coiffés comme… comme lui. Il regarda autour de lui et vu une chevelure blonde non loin devant lui, qui lui tournait le dos. Comment ne l’avait-il pas remarqué? Depuis combien de temps ne l’avait-il pas vu?

- Allô, Allô…Mr Haylen ??

Il reprit ses esprits et entendit alors son correspondant :

- Euh je vois ça et je te rappelle plus tard Jimmy.

Il raccrocha aussitôt. Il déposa son portable sur la table. Ce dernier se remit à sonner. Il ne regarda même pas qui essayait de le joindre, il refusa l’appel et éteignit son portable qu’il rangea au fond de sa poche.

Il regarda le dessin avec attention. Il représentait un homme, lui, avec une femme à la longue chevelure rose, Erika, et trois petits anges, dont la fille avait les mêmes cheveux que lui, et les deux garçons, des jumeaux semblent-ils, avec des cheveux roses. Original. En tout cas, pas de doute, il savait qui en était l’auteur. Même si il ne l’aurait pas aperçu, il aurait reconnu le style entre mille. Le soin des détails, la qualité du dessin, les traits si familier de l’homme…Personne d’autre aurait pût dessiner ainsi et surtout le représenté lui, Erika et leurs futurs progénitures. Comment était-elle au courant qu’il y en avait trois, d’autant plus une fille et deux jumeaux ?

Bref, la source il s’en fichait, lui ce qu’il voulait, c’était revoir, reparlé à la fille qu’il avait tant aimé par le passé, la fille qui avait été un jour la femme de sa vie, la fille qui avait été son premier amour.

Le dessin en main, il se leva doucement de sa chaise et s’approcha de son passé, non sans quelques appréhensions.
Il se pencha et regarda par-dessus son épaule. Elle était attablée sur un nouveau dessin. Au premier abord, il ne fit pas attention au dessin. Il se disait simplement qu’elle n’avait pas abandonné le dessin, qu’elle avait gardé son super coup de crayon et sa passion pour l’art. Comme quoi, tout n’avait pas changé. Seulement, avec plus d’attention, il reconnu le personnage brun sur le dessin, qui se trouvait également sur celui qui tenait en main. Seulement, ce n’était pas le même fille qu’il avait à ses côtés, celle-ci était blonde, et il savait très bien de qui il s’agissait. En faisant encore plus attention à la scène et non au personnage, il reconnût l’arbre, il vit la veste dessiné sur les épaules de la jolie blonde. Pas de doute, elle avait dessiné le jour de leur première rencontre, le jour où il lui avait passé sa veste lorsqu’il avait vu qu’elle avait des frissons.

Bon, c’était le moment de bouger, d’agir. Soit prendre la fuite devant cette vague de souvenirs du passé, soit rester et assumer. Après tout, il était venu jusqu’à sa chaise, jusqu’à elle..Pourquoi faire demi-tour en si bon chemin?

Bref, c’était plus le moment de se poser la question, le jeune fille blonde se retourna dans sa direction. Il plongea dans ses yeux bleus, un instant perdu. Il revit les traits de la jeune fille assise sous l’arbre…Le passé, son passé, leur passé.
Bon, décroche un mot Matt! Tu deviens un peu ridicule à l’observer comme ça.
Il ne trouva qu’une seule chose à dire. Il déposa le dessin sur la table d’Emilie tout en lui disant:

- Je crois que tu as perdu ça…

Mais au lieu de revenir sans rien ajouter de plus à sa place, il resta là, à attendre une quelconque réaction, ou un mot, une phrase venant de son passé, qui ne viendrait peut-être jamais.

- Je crois que tu as perdu ça…

Emilie était totalement pétrifier sur sa chaisse mais comme souvent ses derniers mois, elle ne montra rien, c'était devenue de la glace elle se devait de toujours rester froide maintenant. Mais voila son coeur parlait pour tout les geste ou mots de la terre, il était en plein effervesence, il se rechauffait comme si le faite d'avoir autant perdu le contacte avec lui avait completement refroidit son être et que le retrouver, ou du moins juste le revoir avait suffit a tout réchauffer et redemarrer.

*Non Emilie calme toi, si sa se trouve il ne t'a même pas reconnue, pas possible il me connait mieu que personne et même si ma coiffure, mon allure a changer mon style et mon regard non, c'est sur il m'a reconnue et ce foutu dessin n'a rien arranger*

Emilie se donna une claque mental mais cela ne lui donna pas l'effet attendut. Et oui tout remonta de plein fouet devant ses yeux comme une video qu'on repasse en accéléré pour arriver à un moment bien définie ou à une chose qu'on tenait temps à revoir.

Donc pendant un temps infime qui lui parut une éternité toute ses 5 dernières années lui revienrent en mémoire en accéléré. Sa commença au premier regard puis la premiere rencontre, les premièrs sourire en coin, le premier baiser, la première soirée en amoureux, le première nuit d'amour, les première vacances en amoureux, la première dispute, la réconciliation, la première séparation, la première retrouvaile, le premier emmenagement ensemble, la première trompis...

Le film commençait à ralentire et Emilie savait que trop bien au il allait s'arrêter mais elle ne le voulait pas, elle ne voulait pas y repenser c'était trop dur en plus elle avait mis deux ans a oublier et encore ce n'était pas vrai car à dire vrai elle n'oublierais jamais elle ne voulait pas et ne pouvait pas. Elle était une reine des glace aujourd'hui et seule avec sa douleur elle ne voulait pas redevenir faible.

Le film arriva enfin au sujet douloureux, la separation final, l'annonce du role de futur papa, la dispute dans l'ascenseur, l'affronterie rose a l'école, les dernières paroles, l'abandon de milie et oui elle avait abandonner la partit elle s'était résilier a laisser Matt devenir papa de futur bébé de sa chère Erika. Et ce jour la elle avait vendut la chaleur de son corps en enfer pour ne trouver que de la galce à la place.

Emilie ferma rapidement les yeux pour revoir cette scene et se décida enfin à réagir après tout c'était son passéà elle, le sien et le leur et comme l'indique c'est passé et donc finit plus le droit d'en parler il avait avancer dans un futur qu'elle ne connaitrait pas et franchement il fallait du courage pour faire tout ce qu'elle allait faire maintenant. Elle regarda Matt d'un regard froid et dit d'une voi douce mais dur:

-Oui en effet mais tu peux le garder après tout c'est resemblant je pense, je n'en aurait pas l'utilité moi.

Elle décida alors de ranger l'autre dessin et eut un pincement au coeur, après tout elle commençait à ce demander pourquoi il été venue lui rendre une fois l'avoir reconnue, car il fallait dire qu'elle ne l'aviat pas revue depuis une décénni et si sa super frangine ou son beau frère chérie n'en parlait pas de temps en temps Emilie n'aurait jamais s'eut que Matt était encore la, c'est pas qu'elle ne voulait pas savoir c'est juste qu'elle n'en avait pas la force. Normal non, quand on sait qu'il aurait dût être ensemble peut être marrier et peut etre avec des enfants mes les leurs et pas les siens avec Erika et oui comment tout avait tout basculer c'était une bonne histoire mais trop longue a raconter pour faire court Emilie avait fait l'erreure de croire qu'elle ne serait jamais jalouse quand Matt ferais des jeux avec d'autre filles et qu'elle n'aurait jamais envie de lui faire comprendre que sa la blaisait en le blaisant aussi.

Mais voila c'était arrivé et pour résultat il l'avait quitter sur le champs et été partit ce réfugier chez sa complice de jeu préféré miss barbapapa pour coucher avec et la mettre enseinte pendant qu'elle avait décidé de s'exploser les mains contre un mur pour calmer sa colère et sa couleur car en une fraction de seconde elle avait perdu son coeur, sa vie son oxygene, Matt l'homme de sa vie qui devait surment être un papa aujourd'hui vue que Miss Erika était enseinte au lycée.

Et puis elle s'en fou d'ailleurs c'est sa vie et elle n'en fait plus partit donc pourquoi essayer dans savoir plus sa ne la regarde plus. Mais voila le coeur d'Emilie faisait encore des siennes et elle mourrait d'envie de reprendre contacte même si sa devait la détruire encore plus mais voila son coeur brulait alors qu'il était de glace que faire, et bien temps pis merde elle se lança. Elle se retourna pour le regarder et dire toujours sa grande chaleur dans sa voie

- Tu veux t'asseoir, sa fait longtemps que je t'ai pas vue....

*Merde Emilie tu gère plus rien du tout là; zein reprend toi bordel, qu'elle idée de vouloir discuter avec lui, pour dire quoi, parler du veau temps et ensuite placer la phrase qui tue alors toujours avec Erika c'est chouette!!! pfff c'est du grand n'importe quoi, aller prion pour qu'il parte * pensa t-elle

Après tout il s'en fou de moi c'est son passer et vue que j'ai pas vraiment eu de new, même si j'ai pas chercher à en prendre non plus il faut dire que son passer a l'air plus interesant...

Émilie ne daigna même pas se retourner quand il lui adressa la parole. Le temps qu'il attendit lui parût interminable. Il en venait même à penser que ce n'était pas la bonne personne, qu'il s'était trompé...Mais voilà, comment expliquer le dessin, la ressemblance entre le dessin et lui et Erika, ce qu'il allait vivre...et surtout comment expliquer le fait que la personne devant lui s'était raidi au simple son de sa voix. C'est qu'elle avait dû reconnaître cette voix, le reconnaître. Sa voix n'avait pas changé en quelques années. Certes, la coiffure était différente mais il jurait que la personne devant lui était bel et bien la personne qu'il avait connu, qu'il avait rencontrée au lycée il y a quelques années, avec quelques différences près. Peut-être simplement ne voulait elle plus lui parler. Après tout, les derniers temps où ils se côtoyaient, c'était les temps des disputes, des reproches, des engueulades, des remords, des cœurs brisés...Et bien d'autre, mais la liste serait trop longue. Après tout, ça se comprenait, il le comprenait, lui aussi aurait peut-être hésité à sa place..Seulement avec le temps, il pensait que la douleur pouvait s'atténuer. Pas complètement certes, mais quand même. C'était le cas pour lui, la duleur s'était atténuée, car il ne se voyait plus, mais pourtant, au fond de son coeur, elle répondait présente. Regrettant aussitôt d'avoir était aussi bête de croire qu'ils pourraient reprendre contact et qu'elle allait l'accueillir à bras ouvert, enfin pas quand même, il voulut rebrousser chemin.
Seulement voilà, revirement de situation, Émilie décida de sortir de son mutisme et de lui répondre, avec un accueil comment dire, plutôt glacial:

- Oui en effet, mais tu peux le garder, après tout c'est ressemblant je pense. Je n'en aurais pas l'utilité moi.

Pétrifié, glacé sur place, par le regard qu'elle lui lança et par le son de sa voix, il n'osa pas piper mot. Même pas lui dire que son dessin était en effet très beau et qu'il la remerciait. Il fût dérouté par ce total changement de personnalité, ce changement d'attitude envers lui. Après tout, il l'avait bien cherché, bien mérité. Seulement, ça lui faisait bizarre, elle n'avait jamais eu une attitude aussi froide avec lui, il avait était habitué à mieux. Son regard se tourna vers sa boîte à dessin, elle était en train de ranger celui qu'elle était en train de faire, celui de leur première rencontre. Il eût lui aussi un pincement au cœur en voyant de nouveau ce dessin, revivant dans ses pensées cet instant. Croyait-elle qu'il ne l'avait pas vu? Mais une toute autre question effaça celle-ci : Pourquoi redessinait ça aujourd'hui, pourquoi deux dessins le représentant lui ?

Pas le temps de se poser d'autres questions, un vent glacial frappa encore : Pourquoi encore maintenant ?

- Tu veux t'asseoir ? Ça fait longtemps que je ne t'ai pas vu...

Alors là, il ne s'attendait vraiment pas à ce geste là, simplement à une ignorance totale, ou bien à une simple réponse, histoire de rester poli et pour abréger la conversation qui en fait n'en était pas une. A la fois surpris, mais content que la situation prenne une autre tournure que celle qu'il avait imaginé, il accepta l'invitation:

- Oui, avec plaisir, merci.

Il alla récupérer sa veste et son soda abandonnés sur l'autre table, et pris place en face d'Émilie. Ainsi, il n'eut pas le temps de voir qu'elle regrettait ses paroles. En effet, ça faisait un certain temps qu'il ne s'était pas vu, il avait de temps en temps des nouvelles par Élise qui était sa colocataire, bien que cette dernière évité de lui en parlé. Cela lui échappait parfois quand il lui demandait ce qu'elle avait fait la veille au soir et qu'elle répondait qu'elle était allé au bar voir Émilie danser...Son frère aussi évitait de lui en parler, comme si il voulait l'épargner, ou comme si elle faisait entièrement parti du passé, ou qu'elle ne faisait plus partie de sa vie.
Seulement voilà, peut-être que lui avait envie d'avoir des nouvelles d'elle, de savoir ce qu'elle devient...

Sans demander la permission et sans un mot, il prit la pochette à dessin d'Émilie et retira délicatement le premier dessin, celui qu'elle venait juste de ranger. Ainsi, il pouvait le regarder de plus près, revivre le moment juste un instant. Il regarda la finesse des traits, le style, le personnage de la jeune femme assise sous l'arbre. La fille de son passé...Il leva ses yeux du dessin et regarda Émilie, lui disant d'une voix calme et douce, total inverse d'elle :

- Il est très beau aussi celui-là...

Puis il rajouta :

- Toujours dans le dessin, ou tu travaille seulement à l'Atlantide ?

Oups, ça lui avait échappé. Elle allait maintenant savoir qu'il avait pris de ses nouvelles ou du moins, qu'il savait ce qu'elle faisait. Après tout, ça aurait pût être Élise qui aurait cafté sans savoir, qui sait ?...A part lui et Élise, personne.

- Oui, avec plaisir, merci.

Ouille reponse difficile a accepter, en effet vue le froid qu'elle venait de jetter elle était persuader qu'il ne serait pas rester mais voila elle avait tellement prier au fond d'elle pour qu'il reste que cela arriva. Et oui le passer et le passer mais Emilie n'avait pas l'intention de l'oublier au contraire il était graver en elle et même si certaines choses sont plus que difficile il y a une chose qu'elle tenait absolument a faire des maintenants c'était le retrouver lui même si sa ne sera plus jamais ce qu'il ont vécu elle voulait au moins réintégré sa vie même si ce n'est qu'entant que connaisance elle s'en foutait c'était lui sa vie et il se devait de la refaire vivre après tout ce temps à etre eteinte, mais rien ne serait facile et surtout sa serait très contradictoire, car elle ne voulait pas redevenir la locque qu'elle avait été après tout ce bordel du passer et elle l'avait jurer sa n'arriverait plus. Au jourd'hui elle discutait avec un vieille ami une connaisance...

D'ailleurs cette connaisance avait à priori vue son dessin car il n'eut pas de mal a le recupéré dans la pochette et l'observé, a ce moment précis l'ancienne Emilie aurait rougis et aurait été gené aujourd'hui Emilie ne montrait rien et le laissa faire avant de l'écouter dire d'une façons beaucoup plus chaleureuse qu'elle:

- Il est très beau aussi celui-là...

Pardon avais-je bien entendut???, oui il avait dit que le dessin qu'elle n'avait pas le droit de déssiné était très beau aussi, certe pour la technique il vallait une bonne note mais pour le thème fallais repaser elle n'en avait pas le droit. Elle allait une fois de plus lui montrer que l'ancienne Emilie était morte et qu'elle ne reviendrait pas, et surtout que la nouvelle n'était pas une super version mais au moins elle ne s'ouffrait plus, elle lui pris gentillement le dessin des mains et dit d'une voie moins brutal mais toujours aussi dur (normale c'était son quotidient aujourd'hui):

-N'importe quoi, il est bon à mettre a la poubelle, il n'a pas le droit d'exister ce dessin, je sais même pas pourquoi je l'ai fait.

Elle pris une nouvelle feuille dans son sac et commença un nouveau dessin sur un autre moment du paser, mais voila des qu'elle pensait à quoi dessiné, Matt en face d'elle provoquait une inspiration de merde si on pouvait dire, car tout ses souvenirs basculait sur lui, donc elle se mit une claque mental sans rien montrer et commença à désiner un truc douloureux en le cachant le plus possible à Matt qui serait trop surpris si il le voyait, en effet il representait, une jolie blonde en larme tappans sur une porte ou du sang dégoullinait sur la peinture blanche de la port et sur l'autre moitier de l'image la même blonde a moitier évanouie par terre devant la porte ouverte et une brune qui paraisait choquer, terrifier voir inquiète. Ouille encore un dessin en rapport avec lui mais il n'était pas sencer être au courant donc même si il le voyait il le comprendrait pas. Et en plus vue la question qu'il venait de poser la reponse alalit encore plus le surprendre:

- Toujours dans le dessin, ou tu travaille seulement à l'Atlantide ?

Et bien la Emilie fut encore plus choquer mais elle ne le montra toujours pas, comment s'avait-il qu'elle travaillait la bàs, aurait-il demander? non pas possible quelqu'un avait du le lacher dans une conversation Emilie ne voyait rien d'autre que cela, mais voila c'était a elle de repondre et comme toujours la pauvre allait jetter un froid:

- Ah comment c'est tu que je travail a l'atlantide, bref je m'en fous en faite, non j'ai une double vie, je suis une dessinatrice noire si on peu dire, je suis connue pour de grand tableau sombre ou des mangas assez dur, et le soir comme tu le sais déjà je bose a l'atlantide. Et toi alors qu'es que tu devient?

Et oui elle elle ne faisait pas de boulette, elle ne lui dirait pas qu'elle savait qu'il avait crée son label et que sa chère copine est enseinte de jumeau quoi que sa il sait déjà qu'Emilie le sait. Mais voila leur discution allait aller de surprise en surprise elle le santait...

Émilie lui reprit gentiment le dessin. Il suivit du regard le dessin quittait ses mains, le passé s'enfuir de nouveau. Apparemment, le fait d'avoir dessiné ce dessin à l'instant ne signifiait rien pour elle ou bien elle le cachait bien. En tout cette attitude lui fit penser qu'elle avait peut-être définitivement fait un très sur le passé, qu'il ne restait rien de cela en elle, et c'est pour ça qu'elle était devenu aussi dure. Difficile à admettre pour lui étant donné qu'il n'avait pas oublié tout ses bons moments passés avec elle, certes il faisait parti du passé, mais d'un passé qu'on garde comme souvenir, celui qu'on a pas envie d'effacer et que quoi qu'il arrive, fait parti de notre vie.
La bourrasque fût de retour en peu de temps qu'il ne faut pour le dire:

- N'importe quoi, il est bon à mettre à la poubelle, il n'a pas le droit d'exister ce dessin, je sais même pas pourquoi je l'ai fais.

Franchement, il ne comprenait pas sa réaction. Si elle avait bien oublié le passé comme elle le faisait croire par son attitude désinvolte, pourquoi s'emportait-elle ainsi?
Il ne savait plus sur qu'elle pieds danser, lui qui n'est déjà pas un si bon danseur...Il ne voulait pas s'énerver à son tour ou être froid, seulement voilà, elle l'invite à le rejoindre à sa table et elle lui parle froidement. Il commençait à se demander si il avait bien fait d'accepter l'invitation, si il avait bien fait de venir la voir, si il avait bien fait de s'asseoir à cette place précise où le dit dessin lui était arrivé en pleine figure, si il avait bien fait de venir dans ce bar, si il avait bien fait de s'asseoir en terrasse, si il avait bien fait de prendre sa journée...
Mais il préféra se la jouait neutre, restant calme poli et gentil, ne cherchant pas l'affront, faisant comme si l'attitude d'Émilie envers lui ne le gêné pas, feignant de ne pas avoir remarqué le changement qui s'était opérée en elle. Action :

- Si tu le dis...

Puis il rajouta :

- Seulement voilà, moi je le trouve très beau et ça serait dommage de le jeter, après toi, si tu n'en veux plus, moi je le prends.

Il voulut rajouter une petite blague comme quoi il avait des droits sur le dessin vu qu'il y était représenté mais il jugea que ce serait déplacé et que ce n'était vraiment pas le moment. Se rappelant alors de sa phrase entière, il se demanda si il devait lui demander pourquoi ce dessin n'avait pas droit d'exister. Au point où il en était, il pouvait prendre le risque, elle ne serait pas plus froide que ce qu'elle était en ce moment, quoi que..Après tout, lui voulait juste discuter alors pourquoi pas lui demander :

- Et pourquoi il ne devrait pas exister au fait ?

Après avoir dit cela, il réfléchis à propos de la réflexion d'Émilie. Le dessin ne devrait pas existait, ou la situation qu'elle avait dessiné n'aurait pas dû exister...
Tout en réfléchissant à cela, il la regarda prendre une nouvelle page blanche dans son sac et la regarda dessiner. Combien de fois avait-il fait cela avant. Il adorait la regarder dessiner, concentrée, faisant ce qu'elle adorait le plus. Seulement là, elle cachait aux yeux de Matt ce qu'elle dessinait. décidément, ce n'était plus comme avant, ce ne serait plus comme avant.
La réponse à sa question confirma son point de vue:

- Ah!!Comment sais-tu que je travaille à l'Atlantide? Bref, je m'en fou en fait! Non, j'ai une double vie, je suis une dessinatrice noire si on peut dire, je suis connue pour de grands tableaux sombres et des mangas assez durs, et le soir, comme tu le sais déjà, je bosse à l'Atlantide. Et toi alors qu'est ce que tu deviens?

Et voilà, elle avait remarqué qu'il savait des choses sur elle. Seulement voilà, quand son frère est le gérant et le patron du bar, il ne pouvait pas lui cacher bien longtemps que son ancienne petit amie était danseuse dans son bar. Heureusement, la réponse ne l'intéressait pas plus que ça, il n'aurait pas à se justifier, à lui rendre des comptes.
Dessinatrice noire ? Qu'était alors devenu tout ses beaux dessins exprimant la joie, la gaieté et la bonne humeur, les dessins colorés...Il avait l'impression de revenir 4 ans plus tôt, quand il revint d'Irlande et qu'on lui appris que suite à sa séparation avec lui, Émilie avait changé du tout au tout.
Sauf que cette fois, il espérait que ce changement d'attitude n'était pas encore une fois à cause de lui. Après tout, cela fait un petit moment maintenant qu'ils ne sont plus ensemble.
Il préféra ne pas venir sur ce sujet là et préféra répondre à sa question:

- Beh moi je suis resté dans la musique. Le groupe avec Tom, Auré et Lylie bas son plein, je suis passé de chanteur à bassiste, chantant de temps en temps en duo avec Lylie mais c'est plutôt rare. Et j'ai ouvert mon propre label. Comme quoi, quand on a une idée fixe et une passion, on ne la quitte jamais vraiment.

Préférant détendre un peu l'ambiance, il demanda en souriant,( elle n'arrivera pas à le faire sortir de ses gons et lui faire perdre sa bonne humeur) :

- Mon frère n'est pas trop dur comme boss ?

- Si tu le dis...

Sa sa voulait tout dire il disait sa pour faire oublier le faite qu'il en pensait pas un mots et qu'il voulait surtout pas croire a ce que je disait et pourtant c'était belle et bien vrai je le pensait mon dessin ne devrait pas existé, après tout c'est normal de dire sa et personne lui ferait changer d'avi à ce sujet. Bref elle releva la tête de son dessin pour le voir se mentir à lui même attention il va exploser si il dit pas ce qu'il pense. Emilie sourit intérieurement car elle était sur qu'il allait se contredire dans cinq...quatre...trois...deux...un ....zero, Et oui je le connait trop bien, Pourquoi? Et bien pour cela:

- Seulement voilà, moi je le trouve très beau et ça serait dommage de le jeter, après toi, si tu n'en veux plus, moi je le prends.

Et voila le fou rire intérieure garanti pour Emilie normale après tout car elle ne pensait pas qu'il dirait sa certe, mais elle était sur qu'il se contredirait. Bref ensuite le fou rire fut une petite image qu'Emilie se fit dans sa tête, en effet imaginé cinq minutes Matt se ramenant chez lui avec ce dessin, et bonbon rose qui arrive et qui le voit la sa serait la crise de rire assurer. Emilie arrêta de rire intérieurement et continua d'avoir son apparence glacière extérieure avant de relever la tête une nouvelle fois vers celle de Matt qui avait l'air tracassé, mais par quoi. En regardant de plus près on pouvait se dire qu'il avait un conflit intérieure et à mon avie il hésitait à poser une question. Avait-il peur de briser la glace? Surment. Quoi qu'une fois de plus je parle beaucoup trop, car Emilie le vit tenter le tout par le tout et lui demander:

- Et pourquoi il ne devrait pas exister au fait ?

Pardon il se fou de ma gueule la, c'est pas possible autrement. Emilie hurla intérieurement mais ne montra rien du tout. Et commença à se dire qu'il fallait qu'elle reponde à sa question même si pour elle c'était une évidence, mais pourquoi ne voulait-il pas voir sa. Ou alors y aurait-il une autre fin à cette histoire??? NON NON NON c'est pas possible la fin et toujours celle qu'Emilie a dans la tête est sa ne changera pas, mais voila que lui dire, la vérité était-elle une bonne idée? Surment quoi que pas forcement car ses faiblesses apparaitrait et sa elle ne le voulait pas du tout. Et puis Merde c'était pas une question a poser attention le glacier va imploser il faut que sa sorte, sa dormait depuis trop longtemps il faut croire, du coup sa va saigner. Emilie tappa sur la table et le regarda avec fureure et lui dit glacialement mais chaleureusement en même temps, merde sa barrière par en éclat mauvaise idée, tempis elle se lance:

- Pourquoi??? pourquoi? je reve ou tu as vraiment poser cette question, tu te fous vraiment de ma gueulle c'est sa? Arrête cinq minutes de vivre sur ton nuage et réfléchie dans ta petite tête, pourquoi ce dessin ne devrait pas exister d'après toi?...

Emilie baisa la tête et se calma après tout il la connaisait par coeur et une fois de plus la barrière qu'elle avait batit pour cacher sa douleur venait de partir en éclat à cause de lui, elle devait se calmer reprendre sa froideur et repartir au galop. Elle reprit un visage impassible et continua:

- Oh et puis merde arrête de chercher si ce dessin ne doit pas exister c'est parce qu'il fait partit du passer et qu'il n'a rien avoir avec le present donc autant garder les très beau souvenir dans son coeur plutôt que de faire sa (elle balança son dessin) c'est sa ta vie (elle montra le premier dessin) pas le passer alors on oublie c'est toi et elle c'est tout sa je ne doit plus y penser j'en ait été privé c'est pour sa qu'il ne doit pas existé je me fait du mal pour rien la.

Emilie baisa la tête, et se mordit la lèvre elle en avait trop dit et merde c'est la poisse pourquoi faut-il toujours qu'il lui face perdre tout c'est moyen. Emilie était perdu dans ces pensé et oublia complêtement de l'écouter quand il répondit à sa question à elle. Alros comme elle connaisait déjà la reponse à cause de Tom son patron ce n'était pas très important car en fin de compte il ne dit que cela:

- Beh moi je suis resté dans la musique. Le groupe avec Tom, Auré et Lylie bas son plein, je suis passé de chanteur à bassiste, chantant de temps en temps en duo avec Lylie mais c'est plutôt rare. Et j'ai ouvert mon propre label. Comme quoi, quand on a une idée fixe et une passion, on ne la quitte jamais vraiment.

Certe elle ne l'avouerait pas de vive voi, mais elle était méga fière de ce qu'il était devenue, et en plus pour agraver la situation il était de plus en plus beau. NON NON NON Emilie ne devait pas penser à cela, sinon elle allait redevenir cette fille briser qu'elle était entrain de dessiner. Elle se mis des claques intérieure mais rien n'y faisait son visage était attirré par les traits de Matt qu'elle avait mis trop de temps à oublier sans jamais y arrivé car elle n'en avait pas envie ni la force et qu'en plus elel ne faisait que le dessiner. Bref, si elle ne voulait pas partir en sucette elle avait le choix, soi elle paratait pour etre sur de ne pas faire de gaffe, soit elle se taisait et ne disait plus rien. Les deux solution était bonne, mais Matt avait trouver mieux car il lui demanda:

- Mon frère n'est pas trop dur comme boss ?

Avec cette phrase il essyait de faire quoi, la faire rire, ou même sourire? Sa sa ne risquait pas d'arrivé car elle n'avait pas sourit depuis plus de deux ans et ces rires étaient tous jaune si on peut dire. Mais elel décida quand même d'y repondre:

- Du moment que je refroidis la salle sa va, c'est un bon boss surtout avec sa chérie

Cette fois c'était au tour d'Emilie d'avoir une question con a poser, mais elle ne devait pas et pourtant elle en mourrait d'envie jsute pour savoir donc elle se lança et demanda:

- Et une femme qui a des envies à la con c'est pas trop dur, surtout qu'elle a dût grossir et comme toujours rester belle, c'est pas que sa m'interresse au contraire j'en ai rien a faire de sa vie, mais bon c'est pour toi que je demande, futur papa ou devrais-je dire triple futur papa, félicitation

Et ne pensait pas que le félicitation était chaleureux au contraire mais bon elle devais faire bonne figure devant Matt car après avoir été rabaisser et poignarder par derrière par sa femme je peu vous jurer qu'elle n'avait plus aucune envie de croiser cette fille qui n'aurait pas dû avoir cette chance un jour...

En attendant ses réponses, il s'était laissé divaguer dans la contemplation d'Émilie. Sa coiffure avait changé, laissant les mèches raides au profit de belles boucles bien faîtes. ce n'était pas un mauvais choix en soi. Ça lui allait plutôt bien, il devait l'avouer. De toute façon, il l'avait toujours trouvé ravissante, encore même aujourd'hui, il ne le cachait pas. Il n'y avait rien de mal à cela, et puis les yeux, c'est fait pour voir. Il parcourut les traits de son visage qui autrefois étaient très familier, ce visage doux, attendrissant...
Seulement voilà, l'expression de son visage changea du tout au tout, et ce n'est plus une tête d'ange qui l'avait en face de lui, c'était la rage incarnait qui faisait son apparition.
Émilie tapa du point sur la table, ce qui le fit sortir de ses songes, le surprit, et le fit même faire un léger bon sur sa chaise. Il ne s'attendait pas à un tel virement de situation.
A cet instant précis il regrette ses mots. Encore plus quand elle le regarda avec fureur et quand elle lui répondit sur un ton encore plus froid que précédemment:

- Pourquoi?? Pourquoi? Je rêve ou tu as vraiment posé cette question ? Tu te fous vraiment de ma gueule c'est ça ? Arrête cinq minutes de vivre sur ton nuage et réfléchit dans ta petite tête. Pourquoi ce dessin ne devrait-pas exister d'après toi ?

Alors là, il était scotché, sidéré, scié. Jamais elle n'avait encore osé lui parler ainsi, même pendant leur première dispute.
Des gens s'étaient retourné pour voir qui se donner en spectacle ainsi...Matt fusilla du regard le groupe de personne pas très loin de lui qui les regardaient et qui parlé à voix basse. Ce regard suffit à ce qui reprenne leur petites affaires ou du moins, faire semblant, sans qu'ils ne les regardent.
Cette fois-ci encore, Matt rassembla chaque once de volonté pour se retenir de hurler. Il ne laissera pas exploser sa colère, ne lui répondra pas qu'il n'apprécierait pas qu'elle s'adresse à lui comme cela car il se sentait responsable. Matt dominait parfaitement ses émotions et refusait en toutes circonstances de s'énerver.
Au lieu de quoi il lui sourit. Et ce n'était pas un sourire pétri de ressentiment ou de résignation, mais un sourire sincère, plein d'excuse et de compréhension, et même affreusement contrit. Tout ça pour lui dire:

- Oui, désolé, excuse-moi, je n'aurais pas dû...

Il s'arrêta en plein milieu de sa phrase, regardant Émilie baissait la tête essayant apparemment de se calmer un peu. Elle reprit un visage impassible. Il ne l'avait jamais vu ainsi. Aujourd'hui, elle avait une telle façon de canaliser ses sentiments, de ne pas les montrer, que ça en devenait effroyable.
Elle poursuivit dans sa lancée :

- Oh et puis merde, arrête de chercher. Si ce dessin ne doit pas exister c'est parce qu'il fait parti du passé et qu'il n'a rien à voir avec le présent donc autant garder les très beaux souvenirs dans son cœur plutôt que de faire ça ! C'est ça ta vie! Pas le passé alors on oublie! C'est toi et elle c'est tout! Ça je ne dois plus y penser, j'en ai été privée, c'est pour ça qu'il ne doit pas exister, je me fais du mal pour rien là.

La réalité de sa vie lui revint en pleine figure. Sa vie n'était pas avec Émilie, comme elle lui fit remarquer, mais avec Erika, qui de plus, était enceinte. Pourtant, longuement il avait crût qu'il passerait toute sa vie à ses côtés. Mais voilà ce n'était pas le cas, alors pourquoi cherchait-il toujours à retrouver une part d'elle en lui, à vouloir toujours être proche d'elle, à ne pas résister à la tentation d'aller lui parler alors qu'il sait que ça se passera mal, à vouloir renouer le dialogue, à vouloir de ses nouvelles, alors que c'est en partie sa faute si il avait changer son style de vie.

Après avoir déballé ce qu'elle avait sur le cœur, car elle avait tout dit, en oubliant d'ôter les morceaux qu'elle ne voulait pas qu'il entende, elle baissa la tête et se mordit la lèvre, signe chez elle du remord. Avec ce simple signe, il eut l'impression de retrouver l'Emilie qu'il avait toujours connu. Il comprit alors que c'était certainement la fin de sa phrase qui la gêné. Elle venait de lui avouer que repenser à tout cela lui faisait du mal, lui faisait encore mal. N'avait-elle donc pas oublier comme il le pensait un peu plus tôt à cause de l'attitude qu'elle avait envers lui ? Pensait elle toujours à lui. Et encore plus grosse question : Était-il possible qu'elle ait toujours des sentiments pour lui, qu'elle l'aime encore après tout ce temps, après ce qui lui avait fait ?

Dans sa colère, elle avait totalement oublié le dessin qu'elle était en train de dessiner et Matt en profita pour regarder ce qu'elle avait essayé de lui cacher. Certes, c'était à l'envers, mais il réussit tout de même à apercevoir une femme brune, une tache rouge, comme une mare de sang, et une femme blonde allongée. Si c'était toujours dans l'optique de " je dessine mon passé ", la blonde ne pouvait être qu'Émilie. Surtout si elle lui avait caché. Ce rapport aurait-il aussi un rapport avec lui ?

Pas le temps de trop regarder, Émilie répondit plus calmement à une autre de ses réponses et il ôta son regard du dessin, faignant de ne pas l'avoir vu.

- Du moment que je refroidis la salle ça va, c'est un bon boss, surtout avec sa chérie.

Ce changement de sujet était bénéfique pour tout es deux, il en était certain. Seulement voilà, Émilie n'en avait pas décidé ainsi, et elle préféra revenir sur un terrain glissant.

- Et une femme qui a des envies à la con, c'est pas trop dur ? Surtout qu'elle a dû grossir et comme toujours rester belle. C'est pas que ça m'intéresse au contraire, j'en ai rien à faire de sa vie, mais bon c'est pour toi que je demande, futur papa, ou devrais-je dire triple futur papa félicitation.

Matt déglutit légèrement. Il n'avait pas envie de jouer sur ce terrain là, surtout avec Émilie. Il était venu la voir comme ça, et voilà qu'ils ne pouvaient tout deux s'empêcher de revenir sur leur histoire passée. Il préféra se dérober, jugeant que c'était la meilleure option. Il ne voulait pas s'énerver et si ils en venaient à parler d'Erika et si elle continuais de lui casser du sucre sur le dos, ça risquait de mal finir. Il lui répondit calmement mais franchement, en la regardant droit dans les yeux :

- Je préfèrerais qu'on en parle pas si tu veux bien et qu'on en reste là sur ce sujet.

Se rappelant du félicitation, il se mit à réfléchir sur le ton qu'elle avait employée. Elle ne voulait certainement pas le dire sur ce ton là, mais Matt sentit que ce "félicitation" n'était en aucun cas sincère et qu'il était bourré d'amertume. Préférant faire comme si elle l'avait dit sincèrement et poliment, il lui répondit :

- Et merci, c'est gentil...

Il coupa net cette discussion avec ces quatre mots. Pour lui le sujet était clos. Mais à chacun son tour d'amener l'autre sur un sujet glissant. Tout en restant calme, courtois, poli, mettre de lui, sur un ton de la conversation banale, il demanda :

- Et au fait tu as des nouvelles d'Alex ou de Drew ? C'est pas que ça m'intéresse, mais c'est pour toi que je demande...

Je sais, je sais, il n'aurait pas dû, mais elle était si dure avec lui qu'il ne pouvait pas rester sans rien faire, sans répliquer. Il s'était promis de ne pas s'énerver, de ne pas s'engueuler une nouvelle fois avec Émilie, mais il pouvait très bien jouait à ce petit jeu si subtil.

- Je préfèrerais qu'on en parle pas si tu veux bien et qu'on en reste là sur ce sujet.

Emilie sourit intérieurement bizarement elle été persuader qu'il ne voudrait pas en parler, mais la vrai question c'était pourquoi il ne voulait pas en parler. Bref Emilie se disait qu'elle ne voulait pas le savoir mais au fond d'elle elle mourrait d'envie de connaitre la question. Non non une fois de plus sa vie ne la regardait plus. mais c'était trop dur de ne pas avoir un peu de lui dans sa vie, Emilie le savait et c'est sa qui lui faisait le plus de mal, mais bon passons, il fallait se concentré et tout intériorisé. Elle avait presque finit son dessin quand elle entendit Matt la remercier d'un simple:

- Et merci, c'est gentil...

Voila comment on coupe net une conversation, il était devenue un pro de la pirouette il fallait croire; masi bon cela ne fit pas vraiment rire Emilie car la suite allait faire très mal quoi que le mot mal n'avait plus de définition dans son coeur car ses dernière années n'ont été que douleur et souffrance, mais bon temps pis écoutons se que les lèvres et la voie si sexy du jeune homme allait dire.

*J'ai pas dit sexy, et bien si, ouille je vais retombé il faut se calmer un peu. Mais c'est vrai en plus pourquoi le nier, Matt a toujours été beau même très beau d'après mon points de vue et il le sera toujours donc pourquoi s'interdire de le dire ou plutôt de le pensé*

- Et au fait tu as des nouvelles d'Alex ou de Drew ? C'est pas que ça m'intéresse, mais c'est pour toi que je demande...

Emilie venait tout juste de finir son dessin quand la question choc tomba de la bouche de ce jeune homme qu'elle avait aimé et qu'elle aim... stop non j'ai rien pensé oufff on sauve les meubles. Aujourd'hui elle allait simplement l'étriper quoique il voulait joué le jeu de la subtilité on allait rire, Emilie allait le faire se sentir très mal tout d'un coup, temps pis pour lui il n'avait cas pas la chercher. Elle écrivit un titre au dessus du dessin "douloureuse séparation" puis possa son crayon. Elle le va la tête vers lui et fixa ses yeux puis elle fit un léger sourire, certe elle venait de sourire et c'était rare ces derniers temps surtout que c'est lui qui la faisait rire, mais en même temps c'était un rire qui voulait tout dire.

Sa faisait un moment qu'elle avait capter qu'il essayait de voir son dessin la il allait être content il pourrait le contemplé mais le mmot content après l'avoir vue ne devrait pas lui plaire quoi que on verrait bien. Elle poussa une mèche de cheveux derrière son oreille ou une petite boucle d'oreille pouvait être visible, ironie du sort cette boucle d'oreille elle la portait depuis des années et elle ne l'avait jamais quitter, pourquoi tout simplement parce que c'était une marque de son passer qu'elle ne voualit pas oublier même après temps de chose. Cette boucle d'oreille était un M enlacé dans un E posé sur un coeur en argent. Elle espérait seulement qu'il ne la verrait pas car elle l'avait acheter avant leur séparation et elle n'avait jamais eut la possibilité de la lui montrer. Par contre elle ne l'avait plus jamais enlever. Bref elle le regarda est dit toujorus en se gardant de montrer une quelconque emotion:

-Contrairement à tes pirouette je vais te repondre même si je me demande pourquoi tu veux le savoir sa concerne ma vie, une vie que tu ne voulais plus connaitre il me semble alors pourquoi demander cela? Bref si tu tien temps a le savoir je vais te repondre. En ce qui concerne Drew je l'ai ejecter de ma vie quand je t'ai vue revenir d'Irlande et oui l'amour sa rend con parfois, je mettait dit que si tu était revenue tu reviendrait vers moi et comme je ne t'avais pas oublie et que je ne resentait rien pour lui j'ai tenter le tout pour le tout et je lui ais clairement fait comprendre que j'aimais quelqu'un d'autre. Bref j'aurais mieu fait de mabstenir vue que tu m'as laisser tomber pour une autre après mais c'est pas grave je comprend, tu avais besoin d'autre chise qu'une pauvre raté comme elle disait.

Emilie ne resentait rien sur ce qu'elle venait de dire a part le faite qu'elle avait l'impression que l'histoire se répétait une fois de plus son amour n'avait pas disparut pour lui mais elle était sur que pour lui c'était finit elle lui avait clairement demander. Bref il restait le cas d'Alex et la il allait adorer la suite quoi que c'était pas sur.

- J'ai vue que tu essaye de voir mon dessin ben vue qu'on ne peu rien te cacher et que tu es curieux voici mon dessin (elle lui passa et continua) A la suite de l'incident au café il ma soigner une première fois car je m'étais défouler sur un mur mais j'en avait fait qu'à ma tête et le soir même je recommençait c'est Kate qui ma trouver et guérie. Mais voila l'amour me fait décidement perdre la tête car j'ai essayer de te récupéré quelque jours plus tard, mais quand je t'ai poser un dileme tu m'as clairement fait comprendre que c'était finit pour de bon et que jamais plus tu reposerais les yeux sur moi, c'est Alex qui ma ramaser a la petite cuillière comme un frère et qui ma soigner de ma dépression, un jour j'ai affronter miss bonbon et la je ne me suis pas relevé. Il a mit un ans à essayer de me calmer avec l'aide de Kate et encore aujourd'hui y parait que c'est pas parfait celon eux mais je ne vois pas pourquoi il dise sa. Mais bon pour résumé c'est mon frère de coeur mais il a disparut je ne sais pas ce qu'il devient.

Elle venait de finir sa tirade et oui l'amour lui a fait faire des tonne de connerie et pourtant elle ne regrette rien c'est dur à croire n'est pas et bien non c'est sa d'aimer mais elle est seule dans cette situation. Et préfere tout cacher au gens donc elle ne montre rien et ne dit plus rien. Elle décida quand même de rajouter:

-Malgrès tout je ne regrette aucun de mes choix et je referais presque tout pareil, je dis presque car la seule chose que je regrette c'est le petit jeu au bar qui ne t'avais pas fait comprendre ce que je resentait et qui a tout gacher après tout je te l'ai dit l'amour rend con parfois mais je préfere être conne et aimer.

Ouille elle parlait trop et pourtant ne montrait rien, elle le regardait toujours fixement droit dans les yeux. L'ancienne Emilie aurait déjà baiser la tête et rougis d'avoir dit cela mais elle non car elle n'avait pas honte de son passer car c'était les plus beau jour de sa vie à part certain moment de la fin du lycée . Aujourd'hui sa vie était noire mais au moins elle ne douffrait plus a part ne plus avoir Matt mais bon temps pis elle oublierais surment un jour quoi que c'était pas sur. Elle pensait l'avoir fait mais rien que le fait de le revoir ou de revoir des détails la faisait réagir et pas comme il faudrait. Temps pis Elle assumait c'était sa vie et il n'avait plus le droit dans faire partit et pourtant Emilie ne désirait que sa.

Matt savait qu’il n’aurait jamais dû lui dire ça, seulement voilà, il se contrôlait pour ne pas s’emporter, pour ne pas s’énervé, alors ses mots avaient dépassés ses pensées. Et puis elle l’avait bien cherché na! En tout cas, pas comme sa réponse précédente cette question n’allait pas passé inaperçu et il savait qu’elle allait de nouveau sortir de ses gonds. Ce n’était son but premier, mais maintenant, le mal était fait!
Émilie avait recommencé à dessiner et de nouveau il l’observa. Elle leva ses yeux de son dessin pour les poser sur lui. La réponse à sa question allait fusait. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres. Il avait en quelque sorte « brisé la glace »!! Cependant, il se demandait pourquoi ce sourire venait d’apparaître à cet instant au coin de ses lèvres. Pas le temps, la réplique fusa comme une fusée, c’est étrange comme tout deux avait une excellente répartie.

- Contrairement à tes pirouettes, je vais te répondre, même si je me demande pourquoi tu veux le savoir, ça concerne ma vie, une vie que tu ne voulais plus connaître il me semble alors pourquoi demander cela ? Bref si tu tiens tant à le savoir, je vais te répondre. En ce qui concerne Drew, je l’ai éjecté de ma vie quand je t’ai vu revenir d’Irlande, et oui l’amour, ça rend con parfois, je mettais dit que si tu étais revenu, tu reviendrais vers moi et comme je ne t’avais pas oublié et que je ne ressentait rien pour lui, j’ai tenté le tout pour le tout et je lui ai clairement fait comprendre que j’aimais quelque un d’autre. Bref, j’aurais mieux fais de m’abstenir vu que tu m’a laissé tomber pour une autre après mais c’est pas grave, je comprends, tu avais besoin d’autre chose qu’une pauvre ratée comme elle disait.

Et beh il en attendait pas temps, mais si il avait su qu’en lui demandant cela, ça entraînera une nouvelle fois une dispute, il se serait abstenu de tout commentaire, aurait fait le garçon calme et poli depuis le tout début de la conversation, et serait passé outre. Seulement voilà, il y avait des limites. Il était venu pour prendre de ses nouvelles car il en avait envie, et voilà qu’elle lui parle froidement et s’énerve contre lui, en lui rappelant bien sur le passé, à lui, qui n’avait rien demandé. Donc Matt n’allait pas se laisser faire comme ça. Il était clair que si elle continuait ainsi, il avait véritablement sorti de ses gonds et peut-être que cette fois-ci, les conséquences de leurs mots seraient irréversibles.

Mais pour le moment, la goutte d’eau n’avait pas débordé, et il garda son ton bas, calme, doux et poli :

- Déjà, si tu baissais juste d’un ton, ça serait bien, je suis juste devant toi,je te reçois cinq sur cinq. Ensuite, je vais peut-être jouer sur les mots mais le sens me paraît important, je ne t’ai pas quitté pour une autre nuance. Je t’ai quitté parce ce que le coup du bar m’avait fait très mal et que j’avais dit cela sans réfléchir mais ça je te l’ai déjà dit mais apparemment ça rentre par une oreille et ça ressort par l’autre. Je ne vais pas continuer à justifier mon acte ni rien, cette discussion, on l’a a eu il me semble, alors pourquoi revenir dessus!

Tout ça s’en s’énerver, mais c’était vraiment limite. Il était mettre de lui-même pour l’instant, mais ce n’est qu’une question de temps. Il ne s’était jamais vraiment énervé avec Émilie, ni ne lui a jamais crié dessus, et même maintenant, après ce qu’elle lui disait, après son attitude envers lui, il n’en avait pas envie. Il avait encore trop d’estime pour elle.

En tout cas, le « comme elle disait », on savait très bien de qui elle parler. Il rajouta alors que franchement, vu l’attitude qu’elle a envers lui, il aurait dû s’abstenir de lui dire :

- A mes yeux, tu n’étais pas et tu n’es pas une ratée. Mais ce ne sont que mes paroles, fais-en ce que tu veux, vu qu’apparemment, elle ne vaut plus rien.

Apparemment, elle devait le guetter du coin de l’œil tout en dessinant car elle l’avait vu qu’il était très attentif à ce qu’elle faisait.

- J’ai vu que tu essaye de voir mon dessin, ben vu qu’on ne peut rien te cacher et que tu es curieux, voici mon dessin.

Il prit le dessin qu’elle lui tendait et y jeta un bref coup d’œil le temps qu’elle continue:

- A la suite de l’incident au café, il m’a soigné une première fois car je m’étais défoulée sur un mur, mais j’en avais fais qu’à ma tête, et le soir même je recommençait c’est Kate qui m’a trouvé et guéri. Mais voilà, l’amour me fait décidément perdre la tête car j’ai essayé de te récupérer quelque jour plus tard, mais quand je t’ai posé un dilemme, tu m’as clairement fait comprendre que c’était fini pour de bon et que jamais plus tu reposerais les yeux sur moi, c’est Alex qui m’a ramassé à la petite cuillère comme un frère et qui m’a soigné de ma dépression. Un jour j’ai affronté Miss Bonbon et je ne me suis pas relevée. Il a mit un an a essayer de me calmer avec l’aide de Kate, et encore aujourd’hui , il paraît que c’est pas parfait selon eux, mais je ne vois pas pourquoi il dise ça. Mais bon pour résumer, c’est mon frère de cœur, mais il a disparut, et je ne sais pas ce qu’il devient.

Son petit discours terminé, il pût mieux observé le dessin. Il se rappela alors le soir du bal où ils avaient décidé d’un commun accord d’y aller ensemble et où ils avaient été promu roi et reine de l’année, qu’elle ironie!!Il était passé la chercher à son appartement, et il l’avait même aidé à refaire ses bandages. Ce jour là, il avait même crû qu’ils pourraient réparés tout deux leur erreur, mais ça n’avait pas été le cas. Au lieu de ça, ils ont joué aux hypocrites toute la soirée avec leurs amis, faisant semblant de former le couple parfait qu’ils avaient toujours connu.

En tout cas, il devina sans difficulté le but précis de ce dessin. C’était histoire de le faire culpabiliser, de la faire se sentir mal, de le déstabilisé. Certes, il aurait sût ça dans le passé, le moment où l’incident avait lieu, il aurait été plus que mal et il n’aurait pas hésité à mettre son orgueil dans sa poche et à aller la voir pour savoir si tout allé bien.

Bien sur que maintenant ça lui faisait mal de savoir qu’il avait causé encore plus de mal à Émilie, mais moins qu’avant. Ça s’atténua avec le temps.
Toujours d’un ton calme mais bourré d’ironie, il lui lança ( décidément il déballait tout ce qu’il pensait sans même réfléchir aux conséquences que cela allait entraîner ) :

- Bravo, quel talent! Autant artistique que théâtral!! J’ai failli culpabiliser et me sentir mal de nouveau…

C’était le cas, mais il ne préféra pas lui avouer, il ne lui donnerais pas ce plaisir. Mais qu’est ce qui clochait chez eux ? Il voulait simplement lui parler car il en mourait d’envie et voilà qu’à chaque fois, leur discussion tournait au vinaigre. Apparemment, la démarche ne plaisait que dans un sens. Elle n’était peut-être pas aussi ravie que lui de le revoir. Peut-être devait-il s’effaçait…

Elle rajouta :

- Malgré tout, je ne regrette aucun de mes choix et je referais presque tout pareil, je dit presque par ce que je regrette c’est le petit jeu au bar qui ne t’avais pas fait comprendre ce que je ressentais et qui a tout gâché après tout, je te l’ai dit, l’amour rend con parfois mais je préfère être conne et aimer.

Et voilà, il parla encore sans réfléchir :
- Tu le regrette toujours ? Ou ce qu’en fait tu regrettes, c’est notre histoire ?

Argh, retire vite cette phrase, rembobine…Trop tard…

- Déjà, si tu baissais juste d’un ton, ça serait bien, je suis juste devant toi,je te reçois cinq sur cinq. Ensuite, je vais peut-être jouer sur les mots mais le sens me paraît important, je ne t’ai pas quitté pour une autre nuance. Je t’ai quitté parce ce que le coup du bar m’avait fait très mal et que j’avais dit cela sans réfléchir mais ça je te l’ai déjà dit mais apparemment ça rentre par une oreille et ça ressort par l’autre. Je ne vais pas continuer à justifier mon acte ni rien, cette discussion, on l’a a eu il me semble, alors pourquoi revenir dessus!

Et bien mister Haylen n'avait soit pas compris tout ce qu'elle venait de dire soit elle s'était mal exprimé. Et bien temps pis elle allait rectifier cela encore plus calmement que la première foi et en ayant un ton banal. Mais avant revenons un peu sur ce qu'il venait de dire. En faite ils avaient tout deux raisons si on regardait bien car il dit l'avoir quitter a cause de sa connerie et qu'il regrettait son geste pourtant il est partit aussitôt chez miss bonbon rose donc il a bien été en voir une autre. Mais bon la discution est clause et elle ne voulait pas en reparler c'est sur. Ce n'était pas son but elle elle voulait juste lui expliquer une chose cachait dans ce qu'elle venait de dire et qu'aparement il n'avait pas vue. Mais bon temps pis elle allait juste s'excuser:

-Je ne criyait pas je te signale mais si tu veux me voir crier je peux aussi bien le faire. Bref j'ai dût mal mexprimer car je n'avait pas l'intention de revenir sur ce sujet et je suis pas une conne j'ai très bien compris la dernière fois que tu t'es exprimer à se sujet j'ai compris merci je ne veu pas en reparler une fois ma largement suffit.

La glace, n'était pas encore briser mais au moins c'est le seule qui avait reussit à la faire parler moins froidement que c'est dernière années. Et pour cela il fallait en croire ce qu'on voulait mais elle elle le savait la discution allait être de plus en plus douloureuse, mais elle s'en contrefichait tout ce qu'elle voulait s'était juste garder assez de mémoire de lui pour pouvoir la réinprimer dans sa tête c'est pas qu'elle l'avait oublier c'était juste pour renforcer ce qui lui restait qu'elle risquait de perdre. C'est la qu'il dit quelques choses de super gentil mais elle ne voulait pas qu'il vois que sa lui faisait du bien quoi qu'à mon avie il le verrait surment:

- A mes yeux, tu n’étais pas et tu n’es pas une ratée. Mais ce ne sont que mes paroles, fais-en ce que tu veux, vu qu’apparemment, elle ne vaut plus rien.

Alors la ce n'était pas vrai du tout, il la connaisait si bien que sa qu'aparement il se plantait sur toute la ligne. Emilie resta zein et décida de le remercier temps qu'elle le pouvait encore. Même si cette fois c'était sur elel était grillé pour de bon.

-C'est pas vrai sa vaut encore quelque chose par rapport à ce que tu penses, et je t'en remercie c'est gentil mais sa ne me fera pas oublier c'est parole blessante. Mais bon c'est du passé temps pis.

Mais voila la suite allait faire mal car il venait encore une fois de penser le contraire de ce qu'elle pensait, car elle ne voulait pas qu'il culpabilise mais temps pis elle s'en foutait. La suite allait devenir super intéressant on va dire, car il allait totalement la piquer au vif en lui disant cela:

- Bravo, quel talent! Autant artistique que théâtral!! J’ai failli culpabiliser et me sentir mal de nouveau…

Ouille, Emilie venait vraiment de pendre un coup dans le ventre la mais elle ne le montra pas. Pourquoi voulait-elle d'après lui qu'il se sente de nouveau mal. Mais bon temps pis ce n'était pas son idée à elle, donc temps pis de ce qu'il pensait car elle elle s'avait une chose il ne vallait mieu pas qu'il vois sa derniere BD. Bref elle avait arrêter de de le regarder lorsqu'il ajouta:

- Tu le regrette toujours ? Ou ce qu’en fait tu regrettes, c’est notre histoire ?

Pardon comment pouvait-il osé pensé ne serais ce qu'une seule de ces paroles. Bref elle releva la tête et le vis, elle venait de comprendre qu'il avait parler sans réfléchir mais qu'il voulait une reponse d'accord il allait l'avoir sa réponse de malheure.

-Pardon tu te fous de moi la, temps pis, tu sais quoi pense ce que tu veux.

Elle avait dit sa super bas et avait oublier d'y mettre de la froideur, elle avait plutôt parler sur le ton du dégout. Puis elle avait décidé de se raviser en disant:

-Et puis non je ne veux pas que tu penses ce que tu veux, au contraire sa m'énerve je ne pensait pas qu'un jour tu oserais croire que je regrettait notre histoire car c'est la plus belle chose qui m'est arrivé dans la vie.

Elle se tue rassembla ses affaires et décida de partir décidement c'était une mauvaise idées de sortir aujourd'hui quand on sait que c'était pour le revoir, et surtout pour ce faire poignarder dans le dos. Elle se leva et commença à partir quand elle se ravisa et lui dit:

-Se que je regrette c'est de t'avoir perdu oh es surtout de t'avoir laisser à cette fille mais le pire c'est qu'aujourd'hui tu penses que je regrette notre histoire qui me tue je pensait que tu avais plus d'estime pour notre histoire et pour moi que sa.

Elle se tourna est commença à partir ...

Le ton de la discussion avait quelque peu baissé. Enfin le ton d’Émilie car Matt était resté calme et s’était exprimé doucement de A à Z.
Apparemment, pour une fois depuis des lustres, ils étaient sur la même longueur d’onde. Tout deux n’avaient pas envie de revivre une discussion qui avait déjà eu lieu et qui avait encore mal terminée.

- Je ne criais pas je te signales mais si tu veux me voir crier, je peux aussi bien le faire. Bref, j’ai dû mal m’exprimer car je n’avais pas l’intention de revenir sur ce sujet et je suis pas une conne, j’ai très bien compris la dernière fois que tu t’es exprimé à ce sujet, j’ai compris merci, je ne veux pas en reparler, une fois m’a largement suffit.

Elle s’était un peu calmée et il appréciait l’intention, d’autant plus qu’il ne voyait pas pourquoi le ton montait étant donné que lui parlait calmement et tout naturellement.
Du coup, il hésita à lui faire remarquer que baisser d’un ton ne voulait pas dire arrêter de crier car elle ne criait pas, mais simplement parlait normalement, car elle parlait tout de même assez fort. Du coup, elle partageait toute leur conversation avec le petit groupe de curieux derrière eux. Ce qui ne les regardait vraiment pas. Bon après tout, cette conversation n’aurait jamais dû avoir lieu et en plus ils se trouvaient dans un lieu public.

Mais il s’abstena de lui dire, plutôt content que la conversation reprenne son cours calmement.

Pourtant, il ne se retenta pas de dire doucement :

- Au moins, on est sur la même longueur d’onde, c’est déjà ça…

Il ne savait pas si oui ou non elle avait entendu mais ça lui était égal.
La situation était moins tendu. Il paraîtrait même qu’Émilie est décidé de se calmer et pour preuve :

- C’est pas vrai, ça vaut encore quelque chose par rapport à ce que tu penses, et je t’en remercie c’est gentil, mais ça ne me fera pas oublier ces paroles blessantes. Mais bon, c’est du passé, tant pis.

Apparemment, les paroles qu’il avait eu un peu plus tôt avait touché Émilie, et pourtant, il avait simplement dit ce qu’il pensait, et surtout, il espérait qu’Émilie ne croyait pas qu’il pensait que c’était une ratée, elle qui le connaissait si bien, et même mieux que personne.

Il compléta :

- Oui, mais ces paroles blessantes, ce n’ai pas moi qui te les ai dites. Je regrette les mots d’Erika et la petite guéguerre qu’il y a eu entre vous deux, ce n’était pas ce que je voulais. Mais comme tu dis, c’est du passé.

La situation paraissait tellement plus détendue qu’il regretta aussitôt ses prochaines paroles, celles où il « accusait » Émilie d’avoir fait exprès de lui montrer son dessin pour lui faire mal et le faire culpabilisait, car elle le connaissait tellement bien qu’elle savait quelle serait sa réaction quand il apercevrait le dessin et qu’il découvrirait la vérité sur les blessures de ses mains.

La situation allait repartir en cacahuète et il n’avait pas tout vu car ce n’est pas ces mots si les pires, mais ses derniers qu’il avait osé dire mais qu’il regretta très sincèrement.

Elle releva les yeux de son dessin et là, la bombe explosa, plus dans les mots que par le ton, car elle avait dit cela tout bas et pour une fois, sans froideur dans la voix :

- Pardon ? Tu te fous de moi là ? Tant pis, tu sais quoi ? Pense ce que tu veux…

Il voulait répliquer, s’excuser, mais il la connaissait tellement bien qu’il savait qu’elle n’en avait pas finit avec lui :

- Et puis non je ne veux pas que tu penses ce que tu veux, au contraire ça m’énerve, je ne pensais pas qu’un jour tu oserais croire que je regrettait notre histoire car c’est la plus belle chose qui m’est arrivée dans la vie!

Puis elle rassembla ses affaires, signe qu’elle allait partir. Là fallait réagir Matt Haylen! Seulement, elle se ravisa un instant pour rajouter :

- Ce que je regrette, c’est de t’avoir perdu, oh et surtout de t’avoir laissé à cette fille, mais le pire c’est qu’aujourd’hui tu penses que je regrette notre histoire qui me tue, je pensais que tu plus d’estime pour notre histoire et pour moi que ça.

Elle se tourna et commença à partit. Mais pourquoi était-il allait lui dire ça alors qu’il n’en pensait pas un mot. Il se leva rapidement, manquant de renverser sa chaise et pose sa main sur le bras d’Émilie.

- Attends! Excuse-moi je voulais pas dire ça…Rassied-toi, je t’en prie!

Voyant qu’elle ne se décida pas à lui céder, il ajouta car là il ne rigolait plus du tout, la situation était devenu critique :

- Écoute. Je suis désoler, je ne voulais pas dire ça. Je ne le pensais pas du tout crois-moi. Je ne pense pas que tu regrette notre histoire seulement voilà, je me suis rappelé ce que tu m’a dit plus tôt, que si tu avais sût, tu serais resté avec Drew plutôt que de revenir avec moi et c’est sorti tout seul. J’ai de l’estime pour notre histoire et aussi pour toi sinon je ne serais pas là à m’excuser de mes conneries et je serais pas venu te voir. Ça m’a fait plaisir de te revoir, maintenant si toi ça t’as dérangé, c’est à moi de m’en aller, tu étais là la première et c’est les gêneurs qui doivent quitter les lieux pas l’inverse.

Sur ce, il prit sa veste posé sur le dos de sa chaise, lui fit un petit sourire et lui dit tout doucement :

- En tout cas, ça m’a fait plaisir de te parler.

Il finissa son soda d’un trait, ralluma son portable et s’en alla tout en consultant ses messages. Il suffisait de le laisser éteindre trente minutes pour avoir des tonnes de messages.
Mais il n’était pas du tout concentré sur ce qu’il lisait, il se remémorait les dernières paroles qu’il lui avait dit. C’est vrai, il le pensait vraiment, ça lui avait fait plaisir de lui reparler, et même extrêmement plaisir, alors qu’elle était mal engagée. Il se demandait pourquoi ça lui faisait un tel effet.

Ouf la situation c'était calmer pour un certain temps mais combien encore sa allait duré la question était assez compliquer. Mais bon seul l'avenir le dira. Emilie entendit Matt murmurer un simple:

- Au moins, on est sur la même longueur d’onde, c’est déjà ça…

Ouai c'était pas faut ils étaient sur la même longueur d'onde mais pour Emilie sa elle n'en avait rien à cirrer car ce n'était pas lui important pour le moment. Le plus important pour elle la tout de suite maintenant c'était d'avoir repris contacte avec lui, merci a son foutu dessin. Mais si cela lui faisait du bien, expliquer lui pourquoi elle en souffrait quand même. Et bien Emilie en avait une idée mais elle ne voualit surtout pas ce l'avouer, car cela la tuerait cette fois ci et en plus elle ne se devait plus de resentir autre chose que le froid de son coeur, mais bizarement la il était bouillant à la limite d'exploser. Bref Emilie entendit Matt completer ce qu'elle avait dit plus tôt:

- Oui, mais ces paroles blessantes, ce n’ai pas moi qui te les ai dites. Je regrette les mots d’Erika et la petite guéguerre qu’il y a eu entre vous deux, ce n’était pas ce que je voulais. Mais comme tu dis, c’est du passé.

En effet pour le coup il n'avait absolument rien dit et pour cela elle ne savait pas si elle devait lui en vouloir ou le remercier. Mais bon le passer faudrait arrêter de le faire resurgir car il y a des douleurs qu'on préférerais laisser endormit à vie et qui ne sont pas bonne a refaire vivre à certaine personne. Bref elle lui dit simplement:

-merci

Cela cloturait cette discution pour très très longtemps.

La suite devint de plus en plus dur car Emilie avait tellement était touchée dans son amour qu'elle avait le coeur qui avait explosé une nouvelle fois. Comment se faisait-il que les histoires de coeurs faisait aussi mal même après avoir arrêter de les vivres. Emilie avait commençé a partir et pourtant la fin de sa journée n'avait pas l'air de pointer le bout de son nez, car Matt la rattrapa par le bras en même pas cinq secondes pour lui dire:

- Attends! Excuse-moi je voulais pas dire ça…Rassied-toi, je t’en prie!

L'excuser pas possible la il avait fait très fort il fallait l'avouer. Comment avait-il osé lui dire une chose pareil après tout ce temps. Emilie se sentit défailire et MERDE avec un grand M, il allait bousillier sa barrière si dur à construire en l'espace de quelque minutes. C'est pas juste à chaque foiqu'elle commence à l'oublier et a enfin se forgé une carapace il suffit qu'elle le voi pour que sa explose et qu'elle se sente affaibli sa crain, elle ne voulait pas du tout cela. Elle n'était pas du tout décidé cette fois ci à en écouté plus mais voila il était plus rapide qu'elle est enchaîna sur:

- Écoute. Je suis désoler, je ne voulais pas dire ça. Je ne le pensais pas du tout crois-moi. Je ne pense pas que tu regrette notre histoire seulement voilà, je me suis rappelé ce que tu m’a dit plus tôt, que si tu avais sût, tu serais resté avec Drew plutôt que de revenir avec moi et c’est sorti tout seul. J’ai de l’estime pour notre histoire et aussi pour toi sinon je ne serais pas là à m’excuser de mes conneries et je serais pas venu te voir. Ça m’a fait plaisir de te revoir, maintenant si toi ça t’as dérangé, c’est à moi de m’en aller, tu étais là la première et c’est les gêneurs qui doivent quitter les lieux pas l’inverse.

Drew mais qu'est qu'il venait faire la celui la décidement quand Matt haylen s'éloigne d'Emilie c'est pas très possitif car il n'arrive même pas à comprendre ce qu'elle essaye de lui dire. Temps pis il fallait qu'elle réagise et vite cette foi car à dire vrai il avait totalement faut sur tout ce qu'il venait de dire.Non sa ne l'avait pas déranger qu'il l'ai revu c'était tout le contraire et elle ne devait plus mentir oui elle avait plus qu'aprècier de le revoir après tout ce temps sauf qu'elle ne devrait pas apprécier mais bon temps pis. Elle ne voulait pas le perdre quitte à ne rester qu'une connaisance pour lui elle lui avait déja dit cela en plus. En plus elle fallait qu'elle s'explique encore plus sur l'histoire Drew car il n'avait toujours pas compris apparement que c'était un pion si on peut dire. Bref elle regarda Matt prendre sa veste et lui dire

- En tout cas, ça m’a fait plaisir de te parler.

Elle n'eut pas a attendre que son cerveau lui en donna l'ordre qu'elle avança d'elle même sur lui et lui tira le T-shirt par derrière Histoire de le faire arrèter et surtout qu'il ne la voie pas pour le reste de ce qu'il allait suivre du moins pour un temps minimum. Elle se radoucis encore plus et dit tout doucement de façon à ce que sa soit le seul à l'entendre:

-Ne part pas stp, je veux pas.

Oups elle le pensait mais de là à clairement lui dire fallait pas abuser mais qu'es qui arrivait à miss rayana, pas le temps de le savoir elle se devait de réagir encore plus au cas ou il veuille partir quoi que la elle en était sur il voudrait en savoir plus. Alors elle pris son courage à deux mains et se plaça devant lui pour lui dire:

-Arrête de croire que ma façon d'agir devant toi aujourd'hui est sinonyme de casse toi je veu pas te parler. Sa à rien a voir je suis comme sa depuis plus d'un ans, c'est la seule chose qui m'as permit de garder le controle y'a pas qu'avec toi que je suis comme sa, je le suis avec tout le monde. Pour quelqu'un qui connait ce que je suis devenue je ne pensait pas qu'il oublierait tous de te dire cela. Bref en réalité sa me fait plus que plaisir d'enfin te revoir mais sa me fait aussi super mal et je pensait que tu comprendrais...

Emilie baisa la tête elle avait trop parler et sa depuis trop longtemps, au fond d'elle une chose se brisa mais pas pour lui faire du mal mais au contraire pour lui faire un bien fous. Comme si elle était libéré d'un poids. Mais voila ce n'était pas finit elle le savait leur discution ne faisait que commencer. Elle se devait donc de s'éloigner un peu du peuple pour ne pas se donner en spectacle elle décida alors d'aller s'asseoir sur un banc un peu plus loin elel lui fit signe de le suivre et poursuivit:

-Bon ensuite je crois que je te dois une nouvelle explication car tu n'as pas trop l'impressionde comprendre sans être mêchante bien sur, tu pense que si j' avais sût, je serais resté avec Drew plutôt que de revenir avec toi, mais ce n'est pas cela que j'ai essayer de te faire comprendre ce que j'ai voulu te faire comprendre c'est que si j'avais sût que j'allais te reperdre j'aurais préféré ne pas te retrouver sa m'aurrais évité beaucoup de douleur et pourtant je ne regrette aucun de mes choix sauf peut etre un, mais bon tout le monde n'est pas parfait et j'en suis la preuve vivante, car des erreures j'en ai trop fait et sa ma coûter deux fois de suite ce que j'avais de plus beau au monde alors je peux te dire que devenir une reine des glaces c'était le plus facile pour moi, plus de choix, plus de douleur....

Et voila elle avait tout dit et sans une seule pointe de froideur, mais bon elle s'avait qu'elle allait regretter d'avoir fait cela car elle lui avait promis de se tenir loin de lui et jusqu'à maintenant sa avait réussit , mais une fois de plus elle en avait fait qu'à sa tête et avait parler pour le garder un peu plus devant elle, alors qu'elle n'en avait plus le droit elle se devait de s'excuser une fois encore:

-Désolé je n'aurais pas dût dire cela et surtout je n'aurais pas du te rattraper quand tu as décidé de partir car je te l'avais promis y'a très longtemps dans l'ascenseur c'était maintenant ou jamais sa a été jamais je devait disparaitre de te vie et la qu'es que je fais je te tappe la discute et te prend du temps de ta vie, et pourtant je ne regrette pas de le faire car tu ma manqué je te l'avoue mais sa ne m'ai plus autorisé. Maintenant qu'on n'a tout réglé je devrait y aller avant de faire une nouvelle bétise.

En avait-elle seulement envie? Et bien non et pourtant il le fallait...

Pourquoi était-il allait la voir ? C'était presque obligé qu'il se prenne la tête encore une fois. Pourtant, c'était avec une tout autre intention qu'il était venu lui parler.Il avait eu juste envie de lui parler, de prendre des nouvelles. te voile pas la face mon p'tit Matt, prendre des nouvelles comme ça, comme si c'était une vieille amie, comme si ça pouvait être le cas franchement. Il aurait dû se douter qu'avec le passé qu'il partageait, le bon comme le mauvais, elle ne lui aurait pas réservé un très bon accueil. Pourtant lui, après un certain temps sans la voir, il pensait que la hache de guerre était enterrée. Et pourtant non, c'était toujours le même sujet qui revenait sur le tapis. Il avait fait des erreurs, elle en avait fait aussi, et l'un comme l'autre n'hésitait pas à chaque fois qu'ils se revoyaient de le lui reprochait. Et après ça dégénéré. Comment aurait-on pût croire, quatre ans plus tôt, que ces deux là ne pourraient plus jamais s'entendre ? A l'époque, ça aurait été inimaginable qu'ils ne s'entendent plus, et rien que l'idée qu'ils ne fassent pas leur vie ensemble était quasiment impossible. Comme quoi, tout change, notre destin n'est jamais vraiment tracé, et surtout, n'est jamais comme on voudrait qu'il soit.

Il avait fait à peine deux pas qu'il sentit qu'on l'empêchait d'avancer, le retenant par le tee-shirt. Il entendit alors la voix douce, celle de son passé, celle qu'il avait tant aimé, celle qu'il adorait entendre :

- Ne pars pas s'il-te-plaît, je veux pas.

Quoi? Mais pourquoi ? Il y à même pas deux secondes elle donnait l'impression qu'elle attendait que ça qu'il se barre et elle avait tout fait pour qu'il le fasse, et maintenant, elle voudrait qu'il reste auprès d'elle. Il n'est pas le seul à être une vraie girouette apparemment.
Il lui semblait que la meilleure chose qu'il avait à faire c'était de partir loin d'ici, et pourtant il avait envie de lui obéir et de rester. Peut-être allaient-ils pouvoir avoir une discussion courtoise et ne pas s'entretuer. Donc de un, il ne voulait pas partir, et de deux, elle avait éveillé sa curiosité. Pourquoi ne voulait-elle pas qui parte ?
Il savait très bien qu'il allait y avoir une suite qui allait le justifier alors soupira doucement et attendit. Émilie vint se placer devant lui et il releva la tête pour pouvoir croiser son regard. Elle ajouta :

- Arrête de croire que ma façon d'agir devant toi aujourd'hui est synonyme de "casse toi, je veux pas te parler". Ça à rien à voir, je suis comme ça depuis plus d'un an, c'est la seule chose qui m'a permit de garder le contrôle, il n'y a pas qu'avec toi que je suis comme ça, je le suis avec tout le monde. Pour quelqu'un qui connait ce que je suis devenue, je ne pensais pas qu'ils oublieraient tous de te dire cela. Bref, en réalité, ça m'a fait plus que plaisir d'enfin te revoir mais ça me fait aussi super mal et je pensais que tu comprendrais.

Ah beh première nouvelle, il n'y avait pas qu'avec lui qu'elle avait cette attitude. mais cela ne disait pas par contre que c'était à cause de lui qu'elle avait cette attitude, et il en était de plus en plus persuader. " Depuis plus d'un an ", ça collait parfaitement avec leur rupture. Bon après, "plus d'un an" c'est vague, mais pourtant, il n'arrivait pas à ôter cette idée là de sa tête.
Il se frotta la nuque et fit un petit sourire en coin :

- En fait je pense que tu es devenue un sujet tabou quand je suis dans les parages car personne ne me parle plus de toi, même mon propre frère alors...

La fin de la phrase lui revint alors. " Ça m'a fait plus que plaisir d'enfin te revoir ". Ça, il ne s'attendait pas du tout à ce qu'elle lui dise mais il était content qu'elle lui dise la vérité. Pour lui s'était pareil, après tout, un an, c'est long...très long...trop long. Mais bon faut vite redescendre du nuage : " mais ça m'a aussi fait super mal et je pensais que tu comprendrais ". Comment aurait-il pût comprendre que même après un an, le simple fait de le revoir lui ferait autant d'effet. Lui, il pensait qu'elle avait enfin tournait la page et qu'elle s'était même trouvé quelqu'un d'autre. En tout cas, qu'elle soit passé à autre chose comme lui...Euh..Ouais mauvaise phrase, au fond de lui il ne l'avait toujours pas oublié donc il aurait peut-être pût comprendre, encore faut-il qu'il se rende compte qu'il l'aimait toujours. Alors il lui répondit ce qu'il pensait, comme tout le long de leur conversation :

- Franchement, je pensais pas ça te ferait toujours aussi mal. Je pensais qu'après un an, tu serais passée à autre chose ou du moins que tu m'est oublié...Encore une fois, je suis désolé, mais j'aurais peut-être pût comprendre en effet...

Un déclic Mister Haylen ? Comprends tu qu'elle ne t'as pas oublié comme toi tu n'as pas pût le faire ? Oui, l'idée dans sa tête commençait à se creuser. Vallait tout de même mieux qu'il n'en dise pas trop...
Heureusement, Émilie créa une petite diversion, elle s'éloigna en direction d'un banc non loin d'où ils étaient et lui fit signe de la rejoindre. ce qu'il fit car ensuite elle poursuivit :

- Bon ensuite je crois que je te dois une nouvelle explication car tu n'as pas trop l'impression de comprendre, sans être méchante bien sûr. Tu penses que si j'avais sût, je serais resté avec Drew plutôt que de revenir avec toi, mais ce n'est pas cela que j'ai essayé de te faire comprendre. ce que j'ai voulu te faire comprendre, c'est que si j'avais sût que j'allais te reperdre, j'aurais préféré ne pas te retrouver, ça m'aurais évité beaucoup de douleur, et pourtant je ne regrette aucun de mes choix sauf peut-être un, mais bon tout le monde n'est pas parfait, j'en suis la preuve vivante, car des erreurs j'en ai trop fait, et ça m'a coûté de fois de suite ce que j'avais de plus beau au monde, alors je peux te dire que devenir une reine des glaces c'était le plus facile pour moi, plus de choix, plus de douleur...

Houa et beh quoi répondre à ça Mister Haylen ?
Sauvé par le gong une nouvelle fois, pas le temps de répondre, Émilie n'avait pas finit :

- Désolé, je n'aurais pas dû dire ça et surtout je n'aurais pas dû te rattraper quand tu as décidé de partir, car je te l'avais promis dans l'ascenseur, c'était maintenant ou jamais, ça a été jamais, je devais disparaître de ta vie, et là qu'est ce que je fais, je te tape la discute et te prends du temps de ta vie, et pourtant je ne regrette pas de le faire car tu m'as manqué je te l'avoue mais ça ne m'est pas autorisée. Maintenant qu'on a tout réglé, je devrais y allait avant de faire une nouvelle bêtise.

Whow, whow, whow, ça dégénère là. va falloir gérer ça au mieux Mister Haylen. Et le mieux dans ces cas là, c'est de dire tout ce que l'on pense sans trop se poser de question. Il lui avait causé beaucoup de mal, il le savait, il en était désolé, il le regrettait même, et il était conscient aujourd'hui qu'il lui causait encore du tord. décidément, il aurait mieux fallu qui s'abstienne de venir lui parler. seulement voilà, le destin a fait qu'ils se retrouvent à la même terrasse d'un bar le même jour à la même heure, que ce dessin s'envole et vienne bien sûr atterrir dans la figure de Matt. Il suffisait que ce dessin atterrisse à la table d'à côté pour qu'il ne remarque même pas qu'elle était non loin devant lui. Il préféra réagir à ces dernières paroles avant, il ne voulait pas la rattraper de nouveau, et elle ne devait pas se sentir obligé de partir.
Il la regarda droit dans les yeux et posa sa main sur son épaule :

- Tu n'as pas à te sentir désolé, celui qui doit l'être c'est moi. je t'ai causé beaucoup de mal par le passé, et je t'en cause toujours aujourd'hui. Je sais que simplement recevoir des excuses de ma part ce n'est pas assez pour tout le mal que je t'ai causé, mais je ne sais pas quoi faire d'autre pour te dire à quel point je regrette et à quel point je m'en veux. Et tu as très bien fait de me rattraper car je suis juste parti car tu me donnais l'impression d'attendre que ça que je te laisse, je comprends maintenant que non.

Il marqua une pause et rajouta:

- J'ai jamais voulu que tu disparaisse de ma vie, bien au contraire. seulement voilà, le dilemme dans l'ascenseur, je ne savais pas trop quoi faire. Mais j'ai jamais voulu que tu quitte ma vie, jamais. Et je ne serais pas venu te voir si je ne voulais plus de toi dans ma vie. C'est moi qui suit venu te voir, qui t'es abordé, qui t'es parlé le premier, toi tu n'avais rien demandé. Et je regrette pas de l'avoir fait maintenant, car j'en avait vraiment envie.

Non, non Matt, je sais ce que tu vas vouloir rajouter, non Matt ne le dit pas, tu vas le regretter, non Matt arrête!!

- Je sais que je ne devrais peut-être pas te dire ça, mais tu m'a beaucoup manqué toi aussi, ça fait un certain temps qu'on ne s'était pas vu ni même croisé et je suis venu te voir quand je t'ai aperçu car je crois que tu es essentielle à ma vie et que un an sans te voir ça devenait insupportable. je ne saurais l'expliquer mais je n'ai pas du tout envie que tu partes et j'ai envie que là, maintenant, tu restes près de moi.

Et voilà, jouait la carte de la franchise, oui je veux bien, mais pas trop...T'as complètement oublié les conséquences que tes paroles pourraient engendrées mon pauvre Matt. Bon, maintenant c'est trop tard, j'espère seulement que tu ne le regrettera pas un jour...On verra bien...

Emilie venait de finir sa légère explication sur le faite qu'elle le retienne quand Matt revint sur une partit de sa phrase quand elle disait "je ne pensais pas qu'ils oublieraient tous de te dire cela":

- En fait je pense que tu es devenue un sujet tabou quand je suis dans les parages car personne ne me parle plus de toi, même mon propre frère alors...

Intéresant, car tout le monde faisait comme sa avec elle aussi, à croire qu'ils s'étaient tous donner le mots pour ne pas reparler du passer douloureux ou du moins éviter de le faire resurgir. Merci les amis mais sa na pas servit à grand chose car aujourd'hui on n'est la tout les deux et c'est très rock and roll si on peut dire. Emilie aprécia quand même leur tentative car maintenant il pouvait parler chaqu'un pour soit même si y'avait des hauts et des bats car franchement la ils étaient devenue les rois. Franchement le futur est une chose assez dur qu'il vaudrait mieu connaitre par moment sa eviterait beaucoup de chose mais comme on dit la vie est un cadeau géant dont la surprise vaut le coup d'être vécue par moment car elles peuvents être bonne comme mauvaise. Emilie fut sortit de ses réflexion car Matt poursuivir en disant:

- Franchement, je pensais pas ça te ferait toujours aussi mal. Je pensais qu'après un an, tu serais passée à autre chose ou du moins que tu m'est oublié...Encore une fois, je suis désolé, mais j'aurais peut-être pût comprendre en effet...

Emilie sourit sans vraiment sourire car d'un certaine sens il pouvait avoir raison, en un an elle aurait très bien pût l'oublier mais elle n'a jamais voulut le faire et surtout elle n'aurait jamais pût le faire car après plus de quatre ans ensemble on n'a surment pas envie de tout oublier ou du moins paserr à autre chose et elle franchement en si peut de temps elle pouvait pas et même si elle avait eut plus de temps elel aurait pas pût le faire. Mais bon temps après tout si il avait pensé sa d'elle c'est que lui c'est sur il avait tout oublié ou du moins était passé à autre chose. Bref elle se décida à dire:

-Ben, après un ans je suis désolé mais pour moi c'était impossible d'oublier et même j'en avait pas envie certe c'est pas une période très joyeuse mais elle fait partit de moi et tout comme certain souvenir il restera avec les autres. Mais faut croire qui y'en a qui préfere oublier et passer à autre chose, moi je peux pas désolé...

Bref après tout cela, Emilie entama sa longue tirade qui surprendrait peut être Matt mais qui lui ferait comprendre peut être plein d'autre chose. Emilie ne savait vraiment plus quoi faire maintenant elel c'était réfugier dans le rôle de reine des glace car sans coeur pas de douleur mais voila sans qu'elle ne métrise rien celui ci avait fait des siennes et s'était réactivé et donc c'était dur de continuer a faire la reine des glaces dans une tel situation en plus de cela sa alalit surment ce gaté car si comme elle le croyait mister Haylen réagissait elle ne partirait pas une fois encore et resterai à poursuivre leur discution, mais voila qu'es qui allait réellement se dérouler, cette fois elle préférerait le savoir mais franchement il fallait l'écouter pour le savoir et elle comptait bien le faire. Pourquoi et bien car son coeur lui demandait pardit et qu'elle comptait bien l'écouter. Et oui faut toujorus écouter son coeur et sa raison et prendre la solution de celui en qui on n'a le plus confiance et pour Emilie c'était son coeur donc elle n'allait surment pas partir comme lui disait sa conscience d'allieur Matt réagit enfin en disant:

- Tu n'as pas à te sentir désolé, celui qui doit l'être c'est moi. je t'ai causé beaucoup de mal par le passé, et je t'en cause toujours aujourd'hui. Je sais que simplement recevoir des excuses de ma part ce n'est pas assez pour tout le mal que je t'ai causé, mais je ne sais pas quoi faire d'autre pour te dire à quel point je regrette et à quel point je m'en veux. Et tu as très bien fait de me rattraper car je suis juste parti car tu me donnais l'impression d'attendre que ça que je te laisse, je comprends maintenant que non.

C'est pas tout à fait vrai mais bon il dit ce qu'il a sur le coeur c'est un bon points. Et encore une fois son attitude de reine des glace avait faillit tous mettre en l'air. Heureusement qu'il lui arrive encore de faire des choses irréfléchie comme lui courire après et le retenir. Bref pour une fois elle avait bien fait car il lui disait aussi, ouf sauver une bourde en moins c'est le principale. Bref la chose qui toucha le plus Emilie c'était le faite qu'il s'en voulait de la faire souffrir encore aujourd'hui et sa franchement sa la surprenait car pour le coup si elle souffrait c'était pas totalement sa faute mais en partit la sienne à elle et il fallait qu'elle lui dise mais pas tout de suite car il continua en disant:

- J'ai jamais voulu que tu disparaisse de ma vie, bien au contraire. seulement voilà, le dilemme dans l'ascenseur, je ne savais pas trop quoi faire. Mais j'ai jamais voulu que tu quitte ma vie, jamais. Et je ne serais pas venu te voir si je ne voulais plus de toi dans ma vie. C'est moi qui suit venu te voir, qui t'es abordé, qui t'es parlé le premier, toi tu n'avais rien demandé. Et je regrette pas de l'avoir fait maintenant, car j'en avait vraiment envie.

"J'ai jamais voulu que tu disparaisse de ma vie, bien au contraire" Ouille alors la elle prenait une claque monumental, il n'avait pas voulu qu'elle disparaise de sa vie? Non pas possible il se moquait d'elle la, à voir son expression c'était pas le cas. Mais alors cela voulait dire qu'elle aurait pût éviter de l'éviter, si on pouvait dire, tout ce temps!!!! Lol pas possible. Et merde Emilie concentre toi sur le reste de c'est paroles. Ah oui l'ascenseur, il ne savait plus trop quoi faire, mais alors cela voulait-il dire qu'il aurait voulut réagire autrement, non pas possible!!! Mais alors qu'est ce qui était possible. La suite Emilie souvient toi de la suite bordel a oui il a dit "C'est moi qui suit venu te voir, qui t'es abordé, qui t'es parlé le premier, toi tu n'avais rien demandé. Et je regrette pas de l'avoir fait maintenant, car j'en avait vraiment envie." C'est pas tout à fait vrai c'est lui qui à tout fait en premier mais c'était bien sa et apparement il ne le regrettait pas. Alors la je suis a perduland que faire. Ben attendre la suite seriat le mieu.

- Je sais que je ne devrais peut-être pas te dire ça, mais tu m'a beaucoup manqué toi aussi, ça fait un certain temps qu'on ne s'était pas vu ni même croisé et je suis venu te voir quand je t'ai aperçu car je crois que tu es essentielle à ma vie et que un an sans te voir ça devenait insupportable. je ne saurais l'expliquer mais je n'ai pas du tout envie que tu partes et j'ai envie que là, maintenant, tu restes près de moi

"mais tu m'a beaucoup manqué toi aussi" dur à croire mais bizzarement elle avait envie de le croire de tout son coeur. La suite était encore plus dur a croire pour elle car il dit "je crois que tu es essentielle à ma vie et que un an sans te voir ça devenait insupportable." Mais la franchement sa devenait chaud car elle ne savait vraiment plus ou se mettre et encore moins quoi repondre à cela. Car un ans c'est vrai sa avait donner Alex et Kate en avait chier comme quatre pour la faire sortir de chez elle et lui dire de prendre sa vie en main. Et la aujourd'hui il lui disait lui même que de son côté c'était insupportable alors pourquoi???? Pourquoi avoir été séparé si longtemps et tout et tout la sa craignait car la suite bloqua Emilie dans son élant de parler car il dit"mais je n'ai pas du tout envie que tu partes et j'ai envie que là, maintenant, tu restes près de moi" Non il ne pouvait pas avoir dit cela, mais pourquoi alors c'était sortit de sa bouche c'est pas logique. Alors la fallait bien avouer que c'était lui qui avait dit c'est mot et qu'il devait surment les regrétés et pourtant a voir sa tête pas du tout.

Emilie était vraiment perdut et ne savait plsu quoi dire, alors elle ne mentit pas et dit simplement après s'être rassit près de lui:

- Alors la je suis perdut completement perdu...

Allé Emilie ressaisit toi bordel de merde c'est pas le moment de de dégonfler. Elle se releva posa son sac aux pieds de Matt et fit quelque pats pour essayer d'y voir plus claire mais rie nn'y faisait elle était tout autant embrouiller comment sa se faisait? Bref temps pis la il fallait parler et tout de suite, mais pour dire quoi AHHHHH tout se mélangait dans sa tête et c'était vraiment pas bon du tout bref fallait que sa sorte. Elle revint vers Matt et s'assit tout simplement a côté de lui. Tout était dur la tout de suite mais il fallait se lancé alors c'est partit:

- Je cherche pas la dispute mais je veux savoir sa m'énerve, pourquoi tu veux que je reste près de toi? Pourquoi tu dis que je t'ais manquée et tout et tout alors que tu me montres que tu étais passé à autre chose ou que tu avais oubliée comme d'après toi j'aurais dût le faire tout au long de cette année, Je heu.... donc es que sa voudrait dire que....

Ah mais oui sa doit être sa, mais non c'est pas possible faut arrêter, oh et puis merde la seule façon de le savoir c'est de lui demander temps pis faut rien regréter dans la life.

-...que tu enfin que toi tu... non c'est n'importe quoi. Oh et puis zut, es que cela voulait dire que tu ne m'avait pas oublié et que tu n'étais pas passer à autre chose malgrès ta vie d'aujourd'hui?

En référence à Erika bien sur. Mais a mon avie la reponse était évidende il était bien passé à autre chose quoi qu'on verrait bien en temps voulut. Emilie baisa la tête elle avait un honte d'avoir posser une question aussi bête et décida de s'excuser:

-Heu pardon je n'aurais pas dût poser cette question bête excuse moi.

Mais qu’est-ce qui t’as pris de dire ça Matt??!OK, probablement que tu le pensais, enfin c’était sûr vu que tu étais de plus en plus persuader que tu ne pourrais jamais oublier ton histoire avec Émilie et qu’il y avait au fond de ton cœur quelque chose qui ne devrait plus être là et qui, en fait, ne t’as jamais quitté. Mais de là à tout avouer…Qu’est-ce que tu cherches au juste ? Je pense que toi-même tu ne le sais pas…Seulement voilà, tes dernières paroles auront sûrement des conséquences sur le futur…Ou pas, mais de là à dire cela alors que tu as ta petite vie bien tranquille avec une femme que tu aimes et avec qui tu vas avoir trois beaux bébés…C’est inapproprié et pourtant tu n’as pas hésité une seule seconde à le dire, sans même réfléchir.

Apparemment, il n’était pas le seul dérouté, Émilie l’était encore plus. En même temps, en ce mettant trente seconde à sa place, entendre de la part de son ex que l’on a jamais oublié qu’elle lui a manqué, qu’il la veut auprès d’elle…tout ce que Matt lui avait dit, il y avait de quoi être désorienter.
Ce n’était pas ce que cherchait Matt en lui avouant tout comme ça, car ces paroles pourraient lui donner des idées ou certaines conclusions…Celles qui sont pourtant vraies mais celles que Matt ne voulait pas s’avouer.

Après tout, il avait en quelque sorte refait sa vie, trouvé une femme qui l’aime et qu’il aime, fondé une famille nombreuse en une seule fois, et pourtant, en revoyant Émilie aujourd’hui, il avait l’impression qu’il lui manquait quelque chose pour être totalement heureux, sauf qu’il n’avait pas trop envie de se l’avouer. En quelque sorte, il était à l’abris dans sa petite vie bien cadrée et stable depuis quelques temps. Il n’avait pas envie de tout bousculé pour quelques suspicions. Et si il se trompait ? Si Émilie ne lui avait pas tant manqué ? Si il ne l’aimait plus ? Et si ils se remettaient ensemble, ça ne marchait pas ?
Mais pourquoi se poser ce genre de question!!Matt, tu as une famille ou du moins tu vas avoir, pourquoi se poser ces questions??Tu n’as pas la droit et tu ne devrait même pas te les poser!!Qu’Est-ce qui cloche chez toi?? Tu vas avoir trois larbins, pourquoi gâcher tout ça pour des simples suspicions et surtout, voudrais-tu qu’il arrive à tes enfants la même chose que toi, c’est-à-dire ne pas connaître son père et le haïr pour les avoir abandonné lui et sa mère, en plus pour une autre femme?? NON, non et non!!

Bref, il était autant perdu qu’Émilie le faisait paraître. Son désarroi se fit sentir par le fait qu’elle ne tenait plus en place. Elle se leva du banc et fit quelques pas. Matt crût tout d’abord qu’elle allait partir sans un mot et le laissa là, à ses propres pensées, mais elle déposa son sac à ses pieds, signe que si elle partait, elle devait revenir le chercher. Et puis avant, expliquant ses gestes et confirmant ce que pensait Matt, elle lui dit :

- Alors là, je suis perdue, complètement perdue…

Il la regarda faire les cents pas puis revenir s’asseoir à côté de lui. Il se calla au fond du banc. La discussion était loin d’être terminée, il venait de la relancée avec une bombe atomique. C’est pas le moment de regretter tes paroles, Matt Haylen, d’autant plus qu’au fond de toi, tu voulais qu’Émilie sache ce que tu penses vraiment et que tu as essayé d’enfouir pendant plus d’un an et qui remonte peu à peu à la surface au fur et à mesure que tu voies ou que tu parles à Émilie.

C’était à Émilie de parler et de réagir par rapport aux paroles de Matt :

- Je cherche pas la dispute, mais je veux savoir, ça m’énerve, pourquoi tu veux que je reste près de toi ? Pourquoi tu dis que je t’ai manqué et tout et tout alors que tu me montres que tu étais passé à autre chose ou que tu avais oublié comme d’après toi j’aurais dû le faire tout au long de cette année. Je heu…donc, Est-ce que ça voudrait dire que…

Il lui lança un regard pour l’encourager en continuer, à aller jusqu’au bout de sa phrase, même si il était pas trop à l’aise d’aborder ce sujet. Après tout, c’est de ta faute Matt, assume tes paroles!

Elle poursuivit donc, non sans efforts :

- …que tu enfin, que toi tu…non, c’est n’importe quoi!! Oh et puis zut, est-ce que cela voulait dire que tu ne m’avais pas oublié et que tu n’étais pas passé à autre chose malgré ta vie d’aujourd’hui ??

Il allait répondre mais en regardant Émilie qui baissa la tête, signe qu’elle était pas très alaise, et qu’apparemment la glace était brisée, il se rebuta et vit qu’elle voulait ajouter quelque chose, probablement s’excuser comme toujours quand elle pensait aller un peu trop loin :

- Heu pardon, je n’aurais pas dû poser cette question bête excuse moi…

Bingo, des excuses. Comme quoi, même après un an sans se fréquenter, il la connaissait toujours aussi parfaitement.

Il baissa lui aussi la tête, lui non plus n’était pas très à l’aise. Il respira un bon coup intérieurement, il allait une nouvelle fois dire la vérité, après tout il avait commencé, il se devait de terminer, il le devait pour Émilie. Sans trop réfléchir à quoi dire, il préféra commencer par le commencement et répondre aux premières questions d’Émilie :

- Tu veux savoir pourquoi je t’ai dit que je ne voulais pas que tu partes, pourquoi je voulais que tu restes près de moi…Et bien tout simplement parce que c’est la vérité. Je ne sais pas trop l’expliquer, je suis autant perdu que toi, mais j’ai dis seulement ce que je pensais, seulement la vérité…

Et tout doucement, presque pour lui-même :

- La vérité…

Tout commencé à prendre forme dans sa tête. Il l’aimait toujours, maintenant c’était sûr. Mais il ne devait pas, non…Et puis ça ne pouvait pas être possible, il allait être père de trois enfants, il avait une bonne vie…Non, non…Maintenant, il ne se mentait plus à lui-même inconsciemment, mais vu sa situation, son inconscient aurait dû continuer à maintenir le voile.

Puis il rajouta toujours pour lui-même, mais assez fort tout de même pour qu’Émilie, qui se tenait juste à côté de lui l’entende :

- Je ne suis pas passé à autre chose, j’ai pas oublié en fait, jamais, je l’ai crû, mais en fait non…

Il ferma les yeux pendant un instant, le temps de réfléchir à ce qui venait de dire. Dans sa tête, il revit le sourire d’Erika, son ventre bien rond. Puis une autre image effaça la première, lui tenant dans les bras une petite fille et tenant par la main un des jumeaux. En face de lui, Erika qui tenait elle aussi un jumeau…

Il secoua la tête, toujours les yeux fermés :

- Je peux pas, je peux pas…Je peux pas leur faire ça…

Conscient qu’Émilie était toujours à côté de lui et qu’elle devait se demander ce qui ce passait dans sa tête, il lui répondit, la regardant dans les yeux :

- Non, je ne t’ai pas oublié, non je n’ai pas dû passer à autre chose malgré les apparences…

Il détourna son regard de celui d’Émilie et fixa un point devant lui. Qu’Est-ce qui aller se passé maintenant que Matt avait fait le vide en lui et avait eu ce déclic?

- Tu veux savoir pourquoi je t’ai dit que je ne voulais pas que tu partes, pourquoi je voulais que tu restes près de moi…Et bien tout simplement parce que c’est la vérité. Je ne sais pas trop l’expliquer, je suis autant perdu que toi, mais j’ai dis seulement ce que je pensais, seulement la vérité…

La vérité, mais qu'elle était le vrai sens de ce mot au fet, Emilie se souvint de ses souvenirs et en sortit une définition de ce mots si bizare pour la race humaine: La vérité (du latin veritas) est un terme de philosophie qui exprime la qualité de ce qui est vrai. Et bien toujours aussi dur ce mot sa ne l'avançait pas vraiment car pour elle elle ne voyait toujours pas ou sa la menait cette discution. Bref Emilie regarda droit devant elle en entendant une nouvelle fois Matt lui dire:

- La vérité…

Mais voila, Emilie était sur qu'il se le disait plus à lui même qu'autre chose, d'autre elle n'en tenu pas compte une deuxième fois, car la première l'avait assez embrouiller comme ça donc mieux vallait pas se le remettre dans la tête pour le moment et ce concentré sur la suite. Et oui car il en était sur il allait reparler:

- Je ne suis pas passé à autre chose, j’ai pas oublié en fait, jamais, je l’ai crû, mais en fait non…

Emilie était de plus en plus choquer par ces propos mais qu'est qu'il se passe enfin la c'est de la pure folie ou quoi, oh mais on n'est ou la???? Emilie ne savait vraiment plus ou orienter son esprit mais elle décida quand même de le regarder pour savoir se que disait son visage, mais voila il avait fermer les yeux comme si lui aussi cherchait des reponse à ses propres questions, ce qui montrait qu'il s'en possait autant que lui. Mais voila son expression changea signe qu'il pesait les pour et les contres pour savoir qi il devait continuer de parler ou pas. Mais qu'est ce qu'il devait ou ne devait pas dire? Pff la sa allait faire super mal, mais elle s'en foutait elle voulait savoir ce qu'il avait dans ça tête de jolie brun. Et d'ailleurs cela ne se fit pas attendre car il secoua la tête toujours les yeux fermé et dit :

- Je peux pas, je peux pas…Je peux pas leur faire ça…

Elle n'en douta pas il parlait de sa nouvelle vie donc elle n'eut pas à se poser de nouvelle question car c'était sur le trait était définitivement bouclé et il était vraiment passer à autre chose, elle voulait se lever et partir pour mettre fin à cette nouvelle conversation, mais voila à le voir on aurait dit qu'un nouveau truc devait sortir mais quoi encore on passait vraiment du coq à l'ane sa ne devait plus duré c'était pas possible et sa la gonflait mais en même temps c'était une nouvelle fois une explication sur un fait qui aurait déjà dût être clos, mais à croire qu'ils n'y arriveraient jamais car à chaque fois sa revenait sur le tapis donc qu'est ce que cela signifiait enfin, pfff trop de question pour ma petite tête déjà trop pleinne, Emilie baisa la tête à son tour et ferma ses petits yeux pour faire le vide quand une nouvelle phrase sorit des lèvres de Matt pour dire

- Non, je ne t’ai pas oublié, non je n’ai pas dû passer à autre chose malgré les apparences…

Emilie relava illico presto la tête et regarda Matt, qui lui en avait profiter pour détourner la tête et fixer un point devant lui. Alors la c'était plus qu'une claque qu'elle avait pris dans la tête. Il...il ..il ne l'avait pas oublié et n'était pas passer à autre chose??????? Pas possible c'était des connerie enfin comment cela se faisait-il. Il avait l'air heureux et tout et tout et allait avoir des enfants avec miss bonbon rose et pourtant c'était à elle qu'il pensait c'était impensable et que faire maintenant c'était sur la elle ne savait plus quoi faire ni quoi dire. Pfff et vue sa tête il ne voulait plus rien dire du tout c'était à elle de s'exprimer maintenant, mais pour dire quoi au juste.

Oulala sa fait mal sa, qu'est ce qu'elle doit faire mondieu mondieu de mondieu. Emilie se releva et se mit de dos devant Matt elle croisa les bras, un petit vent se levait et elle commençait à avoir un peu froid mais elle ne savait pas vraiment si sa venait du vent. Elle devait parler alors elle respira un grand coup et dit:

-C'est pas possible, je n'arrive pas à croire ce que j'entend et pourtant j'aurais adoré entendre cela y'a un certain temps mais bizarement j'arrive pas à interprêter ce que j'ai entendu

Emilie se tû un certain temps il fallait qu'elle prenne le temps d'analyser la situation mais elle n'y arrivait pas que devait-elle faire?? Ecouter son coeur c'était la meilleure solution et la sa allait faire mal elle se retourna et se place juste devant lui pour qu'il arrête de fixer le vide et la regarder elle, puis elle continua de croiser les bras et enfin elle dit:

-Je veux savoir ce que tout cela signiffie, si tu ne m'as pas oublié ni que tu es passé à autre chose et moi non plus alors qu'est qu'il se passe Matt, tu es avec Erika tu va être papa par ma faute en plus et pourtant c'est encore moi qui occupe tes pensés j'ai l'impression ainsi que ton coeur, alors pourquoi pourquoi nos vie non plus la même route..

Emilie était très triste car c'était vrai elle l'aimait toujours ce jolie brun amoureux d'une autre et future papa qui ne partageait plus sa vie et elle le savait elle n'en avait pas le droit car si elle continuait sur ce terrain glissant elle risquait de détruire une future famille et un couple par dessus le marcher et la elle ne voulait pas le faire car sa serait faire beaucoup trop de mal à des personnes qui le méritait peut être mais elle elle ne voulait pas sa serait trop dur pour sa conscience. Donc elle rattrapa ses dire et lui dit:

-Oh est puis non je ne veux pas du moins je ne peux pas le savoir, car je ne voudrais pas briser un jolie petit couple sa serait s'abaisait à pire que de la vermine et je ne veux pas, je ne veux pas qu'une fille souffre autant que je souffre pour t'avoir perdu, je ne doix plus jouer sur un terrains glissant.

Pff c'était trop dur car même si ce n'était pas juste elle ne voulait pas le laisser quitter sa vie une nouvelle fois, elle voulait qu'il reste cette fois même si elle ne devait être qu'une bonen amie sa serait plus facile que de ne plus l'avoir du tout dans sa vie donc elle rajouta seulement sa.

-Et puis merde j'ai le droit de faire partit de ta vie autant que n'importe qui, temps pis ce n'est qu'en temps qu'amie car il vaut mieux être ton ami que de ne plus être dans ta vie du tout...

Elle lui fit un grand sourire comme si de rien n'était et se reretourna pour laisser couler quelque larmes silecieuse car une nouvelel fois elle venait de faire une nouvelle cicatrice à son petit coeur.
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Matt aurait pu fixer un point devant lui des heures et des heures seulement pour empêcher que d’autre chose, n’importe quoi, se révèle une nouvelle fois dans sa tête et revienne à la surface en regardant Émilie. Une autre chose qui pourrait avoir une influence future ou quelque chose qui pourrait le faire basculait ou le déstabiliser entièrement, car là, après ce qu’il avait appris sur lui-même, il était à la limite.
Il entreprit de regarder les gens à la terrasse qui vaquaient à leurs occupations, inconscient que le monde pouvait changer du jour au lendemain, ou du moins, que le destin n’était jamais tracé entièrement. Lors de sa relation avec Émilie, il avait toujours crût qu’après le lycée, il serait encore ensemble, et qu’il passerait sa vie à ses côtés. Mais le destin en avait décidé autrement en mettant Erika au travers de sa route et à fait qu’elle se retrouva dans la même pièce que Matt lors de leur court séjour à New York et qu’il fit en quelque sorte sa connaissance. Ce même destin avait fait venir Matt au bar et découvrir Émilie sur les genoux d’un autre et lui avait fait dire sans même réfléchir « tout est fini ». Ce même destin qui le mena vers la maison d’Erika.

Et voilà que le destin refaisait des siennes maintenant en laissant s’envoler le dessin d’Émilie sur la table de Matt, et en les entraînant sur cette discussion qu’ils avaient actuellement. Destin destin quand tu nous joue des tours…
Même quand Émilie se leva pour se placer devant et dos à lui, il ne dévia pas son regard de sa trajectoire. Il jeta un bref regard vers elle, le temps juste de remarquer elle avait croisé les bras, signe d’une grande impuissance, de surprise, se stupeur…tout cela à la fois.

En même temps il y avait de quoi après ce que Matt venait de lui dire ou plutôt de lui avouer.
L’ayant vécu, elle pouvait rester dans cette position sans parler pendant plus de dix minutes. Dans ces cas là, il devait faire preuve de patience tout simplement mais il voulait savoir ce qui se passait dans sa tête…
A sa grande surprise, il ne dû pas attendre bien longtemps :

- C’est pas possible, je n’arrive pas à croire ce que j’entends et pourtant j’aurais adoré entendre ça il y a un certain temps, mais bizarrement j’arrive pas à interpréter ce que j’ai entendu.

Quoi répondre à cela ? Franchement pas grand-chose…De toute façon, il savait qu’elle n’allait pas rester sur cela et qu’elle allait rajouter quelque chose, mais quand ? Un léger silence s’installa entre eux, personne ne fixait l’autre et c’était peut-être mieux comme ça. La suite arriva tout de même peu de temps après, ne laissant pas ainsi un silence trop pesant. Émilie lui fit face, l’obligeant à la regarder elle et non plus son point de soutien :

- Je veux savoir ce que tout cela signifie, si tu ne m’as pas oublié ni que tu es passé à autre chose, et moi non plus, alors qu’est-ce qui se passe Matt?? Tu es avec Erika, tu vas être papa par ma faute en plus et pourtant, c’est encore moi qui occupe tes pensées j’ai l’impression, ainsi que ton cœur, alors pourquoi, pourquoi nos vies non plus la même route ?

Il pensait exactement la même chose qu’elle mais encore là elle n’en avait pas finit et il devait prendre son mal en patience avant de lui répondre. Et c’est reparti, encore des excuses!! :

- Oh et puis non, je ne veux pas, du moins je ne peux pas le savoir, car je ne voudrais pas briser un si joli petit couple, ça serait s’abaisser à pire que de la vermine, et je ne veux pas, je ne veux pas qu’une fille souffre autant que je souffre pour t’avoir perdu, je ne dois plus jouer sur un terrain glissant.

Il était exactement sur la même longueur d’onde, il ne voulait pas tout gâcher pour un « amour de jeunesse ». Sauf qu’il en «était maintenant certain, c’était plus que ça. Le déclic, il l’avait eu quand elle lui avait fait savoir que même au bout d’un an elle ne l’avait pas oublié. Ses sentiments enfouis ont refait surface pour montrer que pour lui aussi c’était pareil, mais qu’il en était encore inconscient. Maintenant, il agissait en pleine conscience. La lumière c’était faite dans son esprit et dans son cœur. Il commençait même à se demander si il aimait vraiment Erika. Mais bien sûr que oui!! Était-il en train de se convaincre ou était ce la vérité ? Pas le temps de poursuivre, Émilie reprit encore une fois. Elle avait décidé de ne pas le laisser parler ou quoi ? Car il avait vraiment envie de réagir là.

- Et puis merde, j’ai le droit de faire partie de ta vie, autant que n’importe qui. Tant pis si ce n’est qu’en tant qu’amie, car il vaut mieux être ton amie que ne plus être dans ta vie du tout…

Elle lui fit un sourire « genre cette conclusion ne me fait rien du tout », genre « c’est comme ça que ça doit être et c’est tout, et que par-dessus le marché, ça ne me fait rien ». Alors que Matt savait pertinemment que ce n’était qu’une façade, comme celle qu’elle avait perdu un peu plus tôt. Elle se retourna aussitôt après lui avoir dit cela.
Il baissa les yeux, il ne vit donc pas qu’elle était secoué de sanglots.
Il se décida alors à parler, redisant les mots qu’ils avaient déjà dit avec moins d’hésitation et plus d’assurance que la dernière fois, il devait assumer point barre.

- Je en t’ai pas oublié, je suis passé à autre chose. Mais je ne peux pas te répondre, moi-même je ne sais pas ce qui se passe. Figure toi que je viens de m’en rendre compte seulement aujourd’hui, une fois qu’il est peut-être trop tard, qu’il…qu’il est sûrement trop tard. Je vais être père de trois enfants et alors que tout allait bien, maintenant j’ai peur…Je les aime, c’est certain, mais toi…c’est…c’est différent…Mais je suis dans une impasse là…J’ai les pieds et poings liés, il sera difficile de faire marche arrière, si marche arrière est envisageable.

Puis il rajouta, résignait:

- Et si il devait arriver quelque chose, ça ne serait pas toi la responsable mais moi encore une fois. Je sais pas ce qui ce passe, mais ces dernières années, je foire vraiment tout dans ma vie sentimentale. Je fais du mal autour de moi et je continue dans faire, et j’en ferais encore probablement…Quoique je fasse, quoique je décide, une personne devra souffrir et même plusieurs dans ce cas.

Puis en colère contre lui-même :

- Tu te rends compte que l’espace d’un instant j’ai eu l’idée de tout claquer comme ça, de lâcher ma famille, de faire comme…comme mon père…Abandonner mes gosses et laissait ma femme se démerder avec…Celui que j’ai toujours détesté. Que je le veuille ou non, je suis comme lui, et rien que cette idée me dégoûte.

Il releva la tête dans sa direction pour voir si elle l’écoutait toujours. Il sentit que quelque chose n’allait pas. Il se leva à son tour du banc. Il n’était plus qu’à quelques centimètres d’Émilie, et il pût l’entendre pleurer. Combien de fois l’avait -il fait pleurer ces derniers temps ? Certainement plus qu’elle n’ai pleuré dans son enfance…Après une brève hésitation, il posa ses mains sur ses épaules en signe de réconfort, et se rappelant les dernières paroles d’Émilie, rajouta tout bas:

- Je n’ai jamais voulu que tu quittes ma vie, alors encore moins maintenant. Être amis est peut-être la seule option qui s’offre à nous maintenant, vu la situation, mais je pense,je crois, que ce n’est pas celle dont j’ai envie…

Sentant que si il continuait ainsi, il pouvait commettre une bêtise, il lui dit, perdu:

- Je…Je crois que je devrais y aller maintenant… C’est peut-être mieux…

Il alla chercher sa veste sur le banc et s’en alla d’un pas rapide.[/size]

Emilie était toujours entrain de pleurer et de se dire que les prochains jours, mois etc allait être très dure pour elle surtout si elle devait devenir son ami, mais c'était son choix et elle le ferai rien que pour rester dans sa vie, après tout c'est toujours mieux que rien du tout alors elle préférait cela. Mais voila même si c'est ce qu'elle voulait sa allait être dur quand on connaissait leur passer en commun car elle elle l'avait toujours dans le cœur et ça sa s'oublierait pas comme sa malheureusement. Mais faudrait bien y arriver car cette fois elle ne voulait plus s'éloigner de lui, et oui comme un aimant. Bref pendant qu'elle divaguait et pleurait en silence elle entendit Matt réagir en disant

- Je ne t’ai pas oublié, je suis passé à autre chose. Mais je ne peux pas te répondre, moi-même je ne sais pas ce qui se passe. Figure toi que je viens de m’en rendre compte seulement aujourd’hui, une fois qu’il est peut-être trop tard, qu’il…qu’il est sûrement trop tard. Je vais être père de trois enfants et alors que tout allait bien, maintenant j’ai peur…Je les aime, c’est certain, mais toi…c’est…c’est différent…Mais je suis dans une impasse là…J’ai les pieds et poings liés, il sera difficile de faire marche arrière, si marche arrière est envisageable.

Pardon????????Alors la impensable y pouvait pas avoir dit cela. Marche arrière, non pas possible il a une famille maintenant temps pis pour moi va. Mais alors sa voudrait dire que,... non pas possible faut arrêter les bêtises Emilie remet tout en place, Erika, bébé Matt toi seul un point c'est tout tu seras son ami et rien de plus. Mais voila mister Haylen n'avait pas finit et il enchaîna:

- Et si il devait arriver quelque chose, ça ne serait pas toi la responsable mais moi encore une fois. Je ne sais pas ce qui ce passe, mais ces dernières années, je foire vraiment tout dans ma vie sentimentale. Je fais du mal autour de moi et je continue dans faire, et j’en ferais encore probablement…Quoique je fasse, quoique je décide, une personne devra souffrir et même plusieurs dans ce cas.

Emilie en prenait pour son grade si on pouvait dire elle ne s'imaginait vraiment pas sa en le voyant aujourd'hui et bien sur le connaissant elle allait avoir de plus en plus de surprise et pas forcement les meilleure mais la c'était abusé il ne fallait pas non plus qu'il reporte la faute sur lui sa va pas ou quoi. Et comment peut-il dire qu'il foire sa vie sentimentale c'est con comme idée c'est juste qu'il a pris une mauvaise décision qui a eut des répercutions pas de quoi pensé qu'il ne faisait que faire du mal autour de lui. Alors la elle allait lui remonter les bretelles sa suffis la il faut qu'il arrête sauf que pour un point il avait raison ses futures décision ferait surement une victime car de chaque côté il y avait une femme qui l'aimait sauf que la balance n'était pas équitable. Emilie le vit ensuite s'énervé surement contre lui car il dit:

- Tu te rends compte que l’espace d’un instant j’ai eu l’idée de tout claquer comme ça, de lâcher ma famille, de faire comme…comme mon père…Abandonner mes gosses et laissait ma femme se démerder avec…Celui que j’ai toujours détesté. Que je le veuille ou non, je suis comme lui, et rien que cette idée me dégoûte.

Aie Matt stp ne pense pas sa c'est pas vrai. Tu ne seras jamais comme ton père c'était un enculé sans cœur pas toi tu as un cœur arrête de pensé a cela. Emilie se sentit fondre en larme encore plus car ces paroles la choqué et en plus elle se sentait coupable, car si elle n'avait pas lancé la discutions il n'aurait jamais pensé sa de lui alors que c'est totalement faut. Elle sortit de ses pensés assez vite pour l'entendre approcher et donc forcement il allait comprendre qu'elle pleurait elle voulut arrêter mais c'était trop tard il avait entendu car il dit comme pour se justifier d'un mal qu'il n'avait pas forcement commis:

- Je n’ai jamais voulu que tu quittes ma vie, alors encore moins maintenant. Être amis est peut-être la seule option qui s’offre à nous maintenant, vu la situation, mais je pense, je crois, que ce n’est pas celle dont j’ai envie…

Emilie releva la tête d'un coup et se répéta sa fin de phrase dans sa tête "mais je pense, je crois, que ce n’est pas celle dont j’ai envie" il n'a pas envie que l'on finisse nos vie en étant ensemble donc...donc si il y avait pas eut les points supplémentaire sur la balance elle l'aurait peut être récupéré car comme elle l'avait toujours pensé il n'avait jamais cessé de l'aimait. Impossible mais pour la convaincre de ce qu'elle croyait il rajouta tout bas:

- Je…Je crois que je devrais y aller maintenant… C’est peut-être mieux…

Elle se retourna en quatrième vitesse pour le voir récupéré ses affaires et partir, donc il avait peur de commettre une bêtise que faire le laisser partir ou tenter de se retrouver avec la foudre dans sa direction??? Qu'elle dilemme de fou. Emilie décida de ne plus réfléchir et d'agir, elle lui courut après et se mit devant lui pour lui bloquer la voie. Puis elle plaqua ces mains sur son torse et baisa la tête les larmes coulant de plus en plus et surtout elle lui dit calmement:

-Non ne part pas la dessus stp...

Elle pris une bonne dose d'inspiration et se força du moins même pas les mots sortir tout seul de sa bouche sans qu'elle ne s'en aperçoive réellement:

-pourquoi partir sur un coup de tête après en avoir trop dit, tu as peur de quoi enfin, en tout cas si c'est de moi tu n'as rien à craindre je ne te sauterais pas dessus si c'est que tu penses, même si a mon avi tu ni penses pas. Et puis merde tu peux pas lacher une bombe et me laisser comme sa sa va pas ou quoi???

Emilie se calma même si elle n'était pas vraiment énervé il fallait le dire, en plus de cela elle avait parler doucement mais la il fallait aussi qu'elle s'exprime sur ce qu'il avait dit, con elle resta toujours dans cette position mais dit:

-Et arrête de croire que tu es comme ton père stp, car tu ne le seras jamais enfin réfléchie toi tu as un coeur lui n'en avait pas, tu as peut être pris une mauvaise décision un jour mais il ne faut pas la regréter enfin regarde toi tu va être père tu sort avec une femme super même si c'est pas mon avie mais en même temps moi je n'ai pas envie de le penser et même si une personne souffre de cela ne le regrette pas car tu fait au moins quatre heureux donc mieu vaut une malheureuse et quatre heureux après une décision que l'inverse, tu ne crois pas??? A près tout c'est ma faute si je n'avait pas voulut te donner une bonne leçon parce que tu faisait joujou avec une autre je ne t'aurais pas perdut donc arrête de croire que c'est ta faute c'est moi qui ai tout gacher et je veux pas t'entendre dire le contraire.

Et oui une fois de plus tout était retourné dans l'ordre dans la tête de la jolie blonde et une fois de plus elle devait savoir se sacrifier pour que tout rentre dans l'ordre et elle se devait d'ajouter quelque chose:

-Certe moi aussi je pense que l'amitier et la seule chose qu'il nous reste a faire mais une fois de plus ce n'est pas ce que je souhaite et pourtant je n'ai pas le choix c'est avec elle que tu doit être car elle elle à un avantage sur moi.

Et oui la balance n'était pas équitable vue qu'elle avait reussit à tomber enseinte pour garder Matt et Emilie elle qu'est ce qu'elle avait, a part sa jolie gueule et bien rien donc c'était pas trop dur à trancher àdieux mon histoire....

Matt pensait, et était même sûr, que la décision qu'il venait de prendre était la meilleure, celle qui n'aurait aucune répercussion sur sa vie. Après tout, si après ce qu'il venait d'apprendre d'elle, et de sa propre personne, il serait peut-être préférable de mettre de la distance entre eux, enfin plutôt Matt. Car il y a quelques secondes, tout prêt d'elle, il avait retrouvé certaines sensations, et était même prêt à retrouver certains gestes...Arrivé au bout des limites qu'il s'était fixé, il avait préféré plutôt prendre la fuite, plutôt que d'affronter de face ce qui aurait pu se passer. Il avait sûrement évité le pire et c'était plus raisonnable. Après tout, la vie d'une famille était en jeu non ? Comment en avait-il pu arriver là, comment avait-il pu se mettre dans une galère pareille ? Comment avait il pu renouer ainsi ses sentiments pour elle ? Trop de questions sans réponse comme toujours ou au contraire, avec une réponse toute simple, super évidente, qui tenait en une seule phrase simple et courte : il n'avait jamais cessé de l'aimer. Alors, simplement pour ça il voulait éviter les risques et avait fuit, fuit devant cette évidence, cette vérité. C'est à contre cœur qu'il avait fait demi tour pour récupérer sa veste. Et c'est pour ne pas être tenté de refaire demi tour, de revenir vers Émilie qu'il avait pressé le pas. Pour fuir, loin d'ici, loin de son passé, loin de la tentation...Mais selon une citation de Monsieur Oscar Wilde, "le meilleur moyen de résister à la tentation, n'était-il pas d'y céder ?" Couplée à : "Résistez à la tentation et votre âme se rendra malade à force de languir ce qu'elle s'interdit". A méditer...
Mais pour Matt, ce n'était pas le moment de méditer, mais de se concentrer, de se vider l'esprit...
De plus, il venait de se rendre compte qu'il tenait toujours le dessin d'Émilie dans la main. Un bref coup d'œil sur sa future famille lui fit de nouveau accélérer le pas...Il n'avait pas le droit, point barre. Trop de personnes étaient en jeu.

Derrière lui, il entendit des pas courir dans sa direction. De suite il songea : Émilie. Son calvaire n'était pas finit, en fait il venait à peine de commencer, maintenant qu'elle était au courant. Elle arriva à sa hauteur et le dépassa, pour l'obliger à s'arrêter. Que faire ?. Maintenant, les dés étaient lancés. Elle plaqua les mains sur son torse et baissa la tête, pour ne pas affronter son regard. Lui en profita pour poser son regard sur elle, elle pleurait toujours, peut-être même encore plus fort. Il n'aurait peut-être pas dû essayer de partir, ou du moins pas maintenant, la laissant seule, pleurer dans son coin. Il aurait dû partir en s'assurant qu'elle allait bien, mais comment aller bien après une telle discussion , Lui même était bouleversé par la situation, par ce qu'il venait d'apprendre sur lui même, mais il ne le montrait pas, ou du moins essayer de ne pas le montrer. Menant la parole aux gestes pour le retenir, elle lui dit doucement : La fuite était maintenant impossible. la fuite, c'est peut-être bien avant qu'il aurait dû l'apprendre, au moment où il avait remarqué qu'ils fréquentaient au même moment la même terrasse, un peu plus tôt

- Non, ne pars pas là dessus s'il-te-plaît...

Après tout, elle avait raison. Il n'aurait jamais dû envisager de partir maintenant, la laisser seule pleurer, alors que c'est lui qui avait provoqué ces larmes...Il n'était pas insensible à cela, pas du tout, simplement il avait eu peur, peur de retomber dans ses bras, là, en plein milieu de nulle part, avec comme seuls spectateurs les gens assis à la terrasse.
Et puis, i fallait la comprendre aussi, après ce qu'il venait de lui avouer, il ne pouvait pas la laisser, avec seulement ses yeux pour pleurer, elle voudrait certainement avoir des explications, savoir ce que Matt comptait faire ou je ne sais quoi encore...Tout, mais pas le silence, pas simplement les bruits de ses pas sur le gravier qui s'éloigne lentement d'elle, ou devrais-je dire, lâchement, la laissant seule avec ses questions sans réponses.

Après une bonne dose d'inspiration, elle rajouta, ce que Matt trouvait totalement normal :

- Pourquoi partir sur un coup de tête après en avoir trop dit ? Tu as peur de quoi enfin ? En tout cas, si c'est de moi, tu n'as rien à craindre, je ne sauterais pas dessus si c'est ce que tu penses, même si à mon avis tu n'y pense pas. Et puis merde, tu ne peux pas me lâcher une bombe et me laisser comme ça, ça va pas ou quoi ?

A cela, il avait une réponde toute simple, en deux mots : De qui il avait peur ? Tout simplement : De lui.
Il n'avait pas peur qu'Émilie lui saute au cou mais tout simplement que ce soit lui qui cède, qui brise ses défenses qu'il avait toujours jugé inutiles. Comme quoi, on n'est jamais à l'abri d'une erreur, on peut toujours se tromper.
Et une fois de plus elle avait raison, il n'aurait pas dû essayer de partir, il avait encore une fois agit avant de réfléchir, comme sous une impulsion...Impulsif Matt Haylen, un peu dur à croire.
Toujours sans avoir ôté ses mains du torse de Matt, elle rajouta:

- Et arrête de croire que tu es comme ton père s'il-te-plaît, car tu ne le seras jamais, enfin réfléchie toi tu as un cœur lui n'en avait pas, tu as peut être pris une mauvaise décision un jour mais il ne faut pas la regretter enfin regarde toi tu vas être père tu sors avec une femme super même si c'est pas mon avis mais en même temps moi je n'ai pas envie de le penser et même si une personne souffre de cela ne le regrette pas car tu fais au moins quatre heureux donc mieux vaut une malheureuse et quatre heureux après une décision que l'inverse, tu ne crois pas??? Après tout c'est ma faute si je n'avais pas voulu te donner une bonne leçon parce que tu faisais joujou avec une autre je ne t'aurais pas perdu donc arrête de croire que c'est ta faute c'est moi qui ai tout gâché et je veux pas t'entendre dire le contraire.

Ces premières paroles lui allaient droit au cœur, vraiment. celle parlant de son père bien entendu. Après tout, il avait toujours fait en sorte de ne pas ressembler à son père, il avait toujours marché et grandit dans ce sens. Il ne voulait en aucun cas tenir de son père, malgrès le sang et les gênes. Ce qui en soi, était déja trop pour lui. Et oui, on pouvait dire que a plus grande peur n'était pas la mort ou autre, mais plutôt de ressembler à son père, à l'être qui haïssait le plus sur terre. Seulement voilà, vu la situation à laquelle il était confronté, il ne pouvait que faire le parallèle avec son père. L'abandon de sa famille, laissant élévé ses gosses, et des jumeaux en plus, à la femme qui avait partagé sa vie. Lui n'en était pas encore là bien sûr, mais il l'avait envisagé l'espace d'une seconde. regrettant bien sûr tout de suite après ses pensées. Il ne pouvait pas les abandonner, c'était clair.
Mais voilà, il s'était même mis à penser que si il ne l'ai avait pas eu, il aurait pû être plus libre. Aurait-il quittait Erika du jour au lendemain ?
Argh, mais quel père était-il franchement ? A imaginer ce genre de chose, voir ce n'est pas le cas mais presque, à regretter d'avoir conçu ses futurs gamins...Là, il s'en voulait à mort.
Sortant de ses pensées et revenant au cours de la discussion, il eût un frisson : Essayait-elle de le convaincre que sa vie était géniale et qu'il devait rester avec Erika plutôt que de revenir avec elle ? Qu'il vallait mieux qu'elle se sacrifie ?
Et si il choisissait tout de même de prendre le risque, le repousserait-elle ?
Malgré le contexte et la situation complexe dans laquelle il était, il se surpris à sourire, intérieurement. Matt et Émilie n'avaient pas vraiment changé en fin de compte, chacun voulait tout se mettre sur le dos, la cause de leur rupture en majeure partie. de là à se demander qui était vraiment coupable...Autant couper la poire en deux, seulement cette discussion, ils l'avaient déjà eu, plusieurs fois même, et elle menait toujours au même point : " tout est de ma faute"." Non c'est de la mienne."

Ne le laissant toujours pas répliquer, elle rajouta :

-Certes moi aussi je pense que l'amitié est la seule chose qu'il nous reste à faire mais une fois de plus ce n'est pas ce que je souhaite et pourtant je n'ai pas le choix c'est avec elle que tu dois être car elle elle a un avantage sur moi.

Avantage qui se résume à trois : une paire de jumeaux et une petite solitaire et dure à cuire. Il baissa la tête. Il ne voulait pas le croire, ni l'admettre, mais pourtant elle avait raison. Il hésitait à savoir ce qui faisait le plus mal : qu'Émilie c'était faîte une raison et qu'elle n'envisageait pas que Matt plaque tout pour elle, le fait qu'elle est raison tout simplement, le fait qu'il ne devrait même pas envisager de plaquer sa famille, le fait que l'amitié est la seule option ou le fait qu'il mourrait d'envie de la prendre dans ses bras là maintenant mais qu'il ne pouvait pas. Là, maintenant, il était vraiment mal.
Il prit les mains d'Émilie qui n'avait toujours pas quittées son torse, et prit soin de les garder dans ses mains, c'était le seul contact assez proche qu'il s'était autorisé. Il chercha son regard, caressant de ses doigts les mains d'Émilie. Il se lança, à corps perdu :

- T'as raison, excuse-moi, je n'aurais pas dû partir comme ça. Encore une fois, j'ai agis sans réfléchir. Écoute, j'ai conscience que ce que je t'ai dit t'as quelque peu bouleversé, je ressens la même chose. je suis désolé, j'aurais peut-être dû garder ça pour moi, mais là, en te voyant en face de moi, j'avais envie de tout te dire, que tu saches...

Une petite pause le temps de lui faire un petit sourire, mal à l'aise la Matt mais il perd pas la face ^^. Il reprit :

- Et en fuyant, car c'est bien le mot, ce n'était pas par peur de toi, mais par peur de moi-même. J'avais peur et j'ai toujours peur, qu'en restant prêt de toi, je fasse quelque chose qui met probablement et même c'est sûr, interdit. Je veux pas tout gâcher, et je ne sais vraiment pas quoi faire pour me sortir de cette situation. En tout cas, s'était pas de ta faute si on a rompu, mais de la mienne, et il m'arrive parfois...souvent, de le regretter. Encore maintenant que je me tiens fasse à toi, et que je ne puisse rien faire...

Houa quel franchise, et tout ça sans trop hésiter...Que se passait-il ?
Il poursuivit :

- J'ai conscience, oh oui j'ai conscience que je vais avoir une famille, que je vais être père. Mais je sais dorénavant que je ne serais pas heureux, enfin si, mais pas complètement. Ça me rend malade de savoir qu'en fait il n'y a qu'une option, l'amitié entre nous deux, mais je te le répète, je n'en veux pas. Et ça me rends malade aussi de savoir que tu as raison, que ma place est auprès de ma famille, loin de toi...Que je ne devrait pas faire endurer ce que moi j'ai subi à mes enfants.

Et, plus pour lui même :

- Ma place est auprès de ma famille...Cette même famille qui doit sûrement m'attendre...

Il regarda Émilie d'un œil triste et suppliant. Il ne devrait pas tarder à y aller, pour le bien de tous. Il lâcha les mains d'Émilie, fourra les siennes dans ses poches et baissa la tête.
Il se rapprocha d'Émilie, leurs visages n'étaient plus qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Il sortit une main de sa poche et caressa son visage. Ça le faisait souffrir mais en même temps, il en avait envie. Il pencha la tête, dépassant la limite du correct. Au dernier moment il dévia sa trajectoire et déposa un baiser sur la joue d'Émilie. Il resta un instant pour garder en tête son odeur et sans un regard sans un mot, il disparût.

» Réconciliation ou non? (PV Matt et Milie) [Fini]